4ème étape

Bonjour, très chères amies,
Bonjour, très chers amis,

C’est un plaisir sans cesse renouvelé de vous retrouver.

J’espère que vous allez tous bien. Le printemps revient mais il fait encore un peu froid. Rien de mieux pour se blottir dans un fauteuil avec une couette, un chocolat chaud et une bonne BD !

Bien entendu, comme à chaque fois, j’ai commencé par vous lire. Et cette fois, c’est la grande aventure. Ça prend de l’ampleur ! Les récits se forment et l’imagination est au pouvoir. Bravo à toutes et à tous. Vous êtes formidables. Vous êtes de vrais conteurs, des inventeurs d’histoires. Des narrateurs !

Vous voyez : quand on mélange réalité et inventions, Histoire et imagination, réflexion et rebondissements, on a de grandes chances de créer un récit palpitant !

Vous avez procuré des émotions fortes au lecteur que je suis. L’explosion qui survient en Chine contée par Roguy, la tempête à Miami de Constance, ainsi que Martha qui pilote un sous-marin m’ont terriblement secoué. Alyssa, quant à elle, sauve l’avion de la compagnie Swissair qui était en perdition. Moi, je dis : bravo !

Certaines et certains d’entre vous m’ont aussi fait rire. L’humour, c’est toujours bien dans une histoire. Je pense aux fous rires en Tanzanie de Sarah. J’avais déjà pu lire le début de l’idée à l’étape précédente. Maintenant, ça se concrétise. Et que dire de ces employés imaginés par Aymen et Yann et qui lancent des ânes vivants aux lions ? Je sais, c’est très cruel, mais moi, ça m’a beaucoup fait rire.

Et puis, je n’oublie pas les jolies histoires d’amour, comme celle avec le palais dans le Sahara avec le prince dedans imaginé par Inès. Et cette très belle histoire de natation avec Bérangère de Navarre qui rejoint son époux Richard Cœur de Lion à la nage.

Il y a aussi des histoires bien folles ou poétiques. J’aime beaucoup ça.

Carlota, l’héroïne des animaux, qui vole avec son costume super génial est… super géniale.

Jérémie nous raconte l’histoire de ce  monstre du Botswana qui porte le même nom que lui. C’est un dragon qui n’a pas de pattes mais des grandes mains, des yeux d’émeraudes et dont l’intérieur est rempli d’émeraudes. Je ne sais pas encore si je dois être émerveillé ou avoir peur ? Ou les deux ?

J’ai également été emporté par les mésaventures magiques dans lesquelles nous entraine Eva sur l’île de Pâques. J’ai aussi été interpellé par l’idée de Nour qui nous explique comment Taylor fait évader Napoléon avant de le ramener chez elle afin de partager avec lui un bon repas.

Une autre aventure palpitante, c’est celle du Dr. Framare qui a conçu un robot géant en forme de méduse afin d’attaquer la ville de Hobart en Tasmanie.

Vous pouvez constater que je suis très enthousiasmé par ces histoires, toutes plus étonnantes les unes que les autres. Mais je ne peux hélas pas toutes les citer. Les autres étaient tout aussi incroyables. Que de talent ! Bravo à toutes et à tous !

Allez, il est temps de passer au boulot. Car cette fois, on va faire tout autre chose. On va s’attaquer au découpage ! Je devrais même dire auX découpageS, au pluriel. Car le découpage de cette histoire va se faire en deux étapes : le découpage écrit et le découpage dessiné.

Tout d’abord, c’est quoi un découpage ? Dans le mot découpage on entend le mot « découper ». On ne va pourtant pas prendre une paire de ciseaux ! Si vous ouvrez une bande dessinée, à n’importe quelle page, la première chose que vous voyez c’est que cette page est composée de plusieurs cases. Ces cases sont alignées sur trois ou quatre niveaux. Les niveaux ou les bandes (d’où le nom bande dessinée) s’appellent également des strips. C’est le mot anglais pour bande, et celui que les auteurs de bande dessinée utilisent.

Chaque strip peut contenir une, deux ou trois cases. Et parfois plus.

Je vous rappelle que votre histoire devra faire une ou deux pages. Selon le nombre de strips choisi et le nombre de cases que vous mettrez dans chaque strip, vous aurez un récit qui se situera entre 12 et 14 cases.

Mais revenons au découpage. Il s’agit maintenant d’écrire, à la main, ou à l’aide d’un ordinateur, ce qui se passe dans chacune des cases, c’est-à-dire :

– Quels personnages sont dans la case (et les décrire rapidement, si c’est nécessaire, la première fois qu’ils apparaissent) ?

– Quelle est l’action qui se déroule dans la case (une seule action par case !) ? Parfois, cela peut-être simplement un personnage qui parle.

– Et enfin, les dialogues. Si un ou plusieurs personnages parlent : il faut écrire exactement ce qu’il(s) di(sen)t.

Je vais reprendre mon album « Chlorophylle » et refaire le découpage des trois premières cases pour vous montrer.

Voici ce que cela donne au final.

Photo1

Photo2

Voilà. Je crois que vous avez bien compris.

Une fois que c’est fait, on passe à la seconde étape : le découpage dessiné !

On appelle ça aussi le story board. C’est encore une expression anglaise. Un story board, au départ, c’est toutes les séquences d’un dessin animé ou même parfois d’un film en prises de vues réelles constituées de dessins qui se suivent. Ainsi le réalisateur du film sait exactement ce qu’il devra filmer par après. Tout est réfléchi à l’avance et rien n’est improvisé.

Si vous connaissez le dessin animé « Wallace et Gromit », voici un extrait de son story board.

Photo3En bande dessinée, on fait la même chose.

En fait, c’est le brouillon de la page définitive. Cela permet de bien situer les personnages et les décors dans les cases, et de prévoir les emplacements pour les bulles.

Le plus simple, c’est de vous montrer ça grâce à un petit film.

Voici des exemples plus poussés. Une page de découpage de la BD « Les Psy » de Bédu et Cauvin. Cette étape est d’autant plus utile lorsqu’on travaille à deux. Comme cela le scénariste peut très clairement faire comprendre à son dessinateur ce qu’il souhaite. Ici, c’est le scénariste (Raoul Cauvin) qui a quelques talents de dessinateur et qui réalise encore cette étape. Parfois, il ne donne que le découpage écrit, et alors, c’est le dessinateur qui s’occupe seul du découpage dessiné.

Photo4

Midam, qui travaille seul, se sert de cette étape pour faire des recherches très précises afin que son gag de Kid Paddle soit le plus efficace et le plus clair possible. De ce fait, vu qu’il rajoute ou retire des cases, ses recherches prennent une forme qui n’est pas encore celle d’une page de bande dessinée classique.

Photo5

Voilà, et maintenant à votre tour.

Pour vous aider, je vous rappelle les principaux points à retenir ainsi que quelques petits trucs pour que votre BD soit le plus compréhensible possible :

–          1 à 2 pages (de +/- 12 à 24 cases maximum)

–          Sur une page de format A4 ou A3 tenue verticalement.

–          Tracer les strips et les cases à la latte (règle) pour que cela soit droit. Pas comme moi dans le film. J’ai été un peu trop vite.

–          Ne pas trop charger les cases.

–          Pas trop de personnages en même temps.

–          Qu’un ou deux personnages qui parlent par case.

–          Si deux personnages parlent dans la même case. Le premier qui parle et sa bulle se trouvent à gauche du second et de sa bulle à lui. Comme cela on lira ce qu’ils disent dans le bon sens.

–          Maximum une action par case.

–          Le dessin doit donner les principales informations pour ne pas utiliser trop de texte.

–          Le dessin est au brouillon (pas poussé). On doit juste savoir qui est qui, mais pas besoin de précisions. Quelques lignes suffisent pour définir les décors.

–          Cette étape sert uniquement à « mettre bien à sa place » chaque élément.

Et voilà ! A vous de jouer !

On se rapproche à grand pas de l’étape suivante. La dernière : la vraie bande dessinée terminée.

Avant de vous laisser, je vous montre quand même ce que donne la planche 1 terminée de Chlorophylle. (Je ne me rappelle plus si je vous ai déjà dit qu’une page de bande dessinée, on appelle ça une « planche ».)

Et un dernier message pour les copines et les copains de Suisse : il y a deux semaines, je suis passé en Suisse. Mais très vite. Uniquement une journée, car il y avait une exposition des planches de Chlorophylle à Genève. Je n’ai pas eu le temps de venir vous voir, mais j’ai pensé à vous. Votre pays est très joli et j’ai adoré mon séjour.

Et votre gastronomie excellente.

La preuve.

Photo7

Travaillez bien et je vous dis : à très bientôt !

Jean-Luc

Merci de publier au maximum 5 productions avec des images au format jpg et de veiller à ce que les images ne dépassent pas 800 Ko afin de limiter le temps de chargement de la page.

14 réflexions sur « 4ème étape »

  1. Cher Jean-Luc,

    Nous sommes une fois de plus enchantés par la nouvelle mission qui nous a été confiée! Cela nous a demandé beaucoup de travail, mais les résultats sont très intéressants et surtout prometteurs! Nous espérons que vous avez apprécié la fondue chez l’Père Glozu (si nous avons bien reconnu l’enseigne où vous vous êtes rendu…) Nous vous souhaitons une bonne lecture et attendons patiemment la dernière étape !

    L’école de Chêne-Bougeries

    1. Iker joue avec ses amis en Espagne
    2. Iker soudain trouve des cartes d’un jeu vidéo. Ce sont des cartes de personnages
    3. Iker lance une carte par terre
    4. Et il y a un géant qui sort de la carte
    5. Un jour je vais ou Tchad le pays le plus riche du monde
    7. Un voleur vole la machine pour faire de l’argent
    8. Iker décide de trouver le voleur
    9. Iker lance toutes les cartes par terre
    10. Les personnages des cartes cherchent le voleur
    11. Un des personnages trouve un monsieur avec une machine
    12. Et le personnage prend l’homme et la machine
    13. Le personnage ramène la machine au président
    14. Le président décide de faire une statue d’Iker avec de cartes
    Histoire d’Iker

    RONALD le petit pêcheur
    Page1
    Case 1
    Cartouche : C’est l’histoire d’un petit garçon qui s’appelle Ronald, il habite au Togo près de la mer. Il nage très vite. En ce moment il y a des tentions au Togo parce qu’il y a eu plusieurs coups d’Etat.
    Case 2
    On voit le papa de Ronald revenir de la pêche avec des poissons. Le papa a la peau foncée et les yeux noirs comme sont fils et la maman de Ronald.
    Le fils dit : Dit papa demain je pourrai pêcher avec toi ?
    Le papa répond : oui tu pourras pêcher avec moi.
    Case 3
    Sur un côté de la feuille il y a une cartouche ou est écrit : Le lendemain soir au crépuscule. On voit le papa en train de prendre les rames, et Ronald va sur la barque avec deux cannes a pêche à main, Ronald sourit. Et le papa sifflote (notes de musique).
    Case 4
    On voit depuis le port la barque au loin, on voit un crépuscule avec le soleil derrière ut un oiseau.
    Case 5
    On voit le papa et le fils avec une canne à pêche avec le crépuscule et le soleil.
    Page 2
    Case 6
    Le fil de la canne à pêche de Ronald se tend. J’ai quelque chose dit Ronald. En se retournant et en bloquant la canne à pêche sur la barque, le papa dit : Super !
    Case 7
    Ronald se fait attirer dans l’eau il dit : AHHHHHHHH !!! Le papa dit : NOOOOOOON !!!! en essayant de l’attraper.
    Case 8
    On voit quelques bulles qui remontent à la surface de l’eau noire et on entend les pleurs du père OUHHHHH !!!
    Case 9
    On voit le petit garçon qui nage très vite en se dirigeant vers le bord de la mer. Le père voit qu’il y a de gros poissons à ses trousses. Cette image se place à la place du papa.
    Case 10
    On voit Ronald échoué sur la plage ainsi que des milliers de poissons échoués sur le sable avec lui. Au loin on voit le papa qui revient.
    (Page 3)
    Case 11
    On voit Ronald avec son père au marché en train de vendre plein de poissons. Ils sont tout contents.
    Cartouche en bas : Ils devinrent les plus riches du Togo.
    Une histoire imaginée par Gaspard Kramer.
    Avril 2016

    Le rêve de Raphaël

    Page 1
    Case 1 : Dans le salon de son appartement, Raphaël Ajaro joue à la fusée avec son meilleur
    ami Julien. « Je vais aller sur la lune. »
    Case 2 : A table, Raphaël explique à sa mère, son père et à sa petite sœur de 3 ans Juliette :
    « Lorsque je serai grand, je serai astronaute. »
    Case 3 : Dans son lit, Raphaël rêve de lui quand il sera grand et astronaute.
    Case 4 : 7 ans plus tard, à l’âge de 16 ans, il est assis à son bureau dans immeuble en plein
    centre- ville où l’on peut lire en grand « Centre d’astronomie ».
    Case 5 : Son père Abrahim Gouloumgouloum Ajaro passa devant l’établissement et aperçu
    son fils.
    Case 6 : De retour chez lui, Raphaël aperçoit des valises à l’entrée…
    Page 2
    Case 1 : Son père est furieux « Comment as-tu pu faire ça dans mon dos ! » et il le vira de la
    maison.
    Case 2 : Le jeune homme a été accueilli par Julien avec qui il était resté en contact. « Merci de
    m’accueillir »
    Case 3 : M. Gouloumgouloum Ajaro regarde la télé et est très surpris…
    Case 4 : Encore 7 ans plus tard, il aperçoit son fils à la télévision qui ce dernier est prêt à
    partir pour le décollage de la fusée Ariane 4.
    Case 5 : Raphaël retrouve son père et se jette dans ses bras. « Je suis fier de toi fiston ! »   « Je t’aime papa !».
    Case 6 : Une photo de Raphaël en combinaison d’astronaute et devant la magnifique fusée
    Ariane 5 est posée sur une petite table servant également de tiroir…
    Histoire de Teta

  2. Voilà 3 petites histoires de Val-d’Illiez,
    Mathilde, 7H , Val-d’Illiez, Suisse

    Le glacier Helheim
    Case 1 : Je m’appelle Mathilde et j’ai quatorze ans. J ‘aime beaucoup aider les
    personnes. Je vis au Groenland depuis toute petite.
    Case 2 : Je me balade à côté d’un ruisseau. C’est magnifique! En plus j’aime
    beaucoup la nature.
    Case 3 : Il y a déjà quelques minutes que je marche et il fait froid.
    Case 4 : Je décide de rentrer quand tout à coup, j’entends …
    – A l’aide !!!!!
    Je me retourne et je vois une fille qui doit avoir huit ans qui se noie.
    Case 5 : J’hésite à rentrer chez moi pour demander de l’aide mais d’un autre côté je
    risque de faire trop long.
    Case 6 : Alors sans hésiter je cours sauver la fille.
    Case 7 : Et tout à coup, je vois le glacier qui est juste au – dessus d’elle s’écrouler.
    Case 8 : J’ai juste eu le temps de la sauver.
    Case 9 : Elle me remercie mille fois de lui avoir sauvé la vie.
    Case 10 : Je lui demande où elle habite et ensuite je la ramène chez elle.
    Case 11 : Une fois que je l’ai ramené elle me dit au revoir et je rentre chez moi .
    Case 12 : Quand je suis rentré chez moi , j’ai raconté mon aventure à mes parents.
    J’aurais toujours ce souvenir dans mon cœur.

    Isaline, 7H , Val-d’Illiez, Suisse
    SOS MAGIE
    Page 1
    Case 1 : Au Chili , Isaline se promène dans la rue.
    Case 2 : Soudain, Isaline entend du bruit… Elle s’approche de l’endroit d’où provient le bruit.
    Case 3 : Elle surprend une conversation d’ Augusto . Il dit : Grâce à cette clé, je vais pouvoir déverrouiller le portail magique qui se trouve dans ma cave et prendre le contrôle de ce monde !
    Case 4 : Quelques minutes plus tard, Isaline revient avec sa meilleure amie, Emilie, et finit de lui expliquer la situation. Isaline dit : Augusto veut prendre le contrôle d’ un monde magique.
    _ vraiment ? dit Emilie, mais alors, si c’est un monde magique, comment il va s’y prendre pour le trouver ?
    _ En fait, il y a un portail dans sa cave et lui, il en a la clé. Il va s’en servir pour entrer dans se monde et prendre le pouvoir.
    _ Dans ce cas, il faut faire quelque chose et je sais quoi…
    Case 5 : Emilie entre dans la chambre d’ Augusto.
    Case 6 : Emilie parvient à voler la clé du portail.
    Case 7 : Quelques minutes plus tard, Isaline déverrouille le portail magique.
    Case 8 : Les deux filles se retrouvent dans un monde très étrange. Soudain, elles voient quelque un.
    Case 9 :C’est une fille qui est née dans ce monde. Elle s’appelle Laura.
    Case 10 : Emilie explique la situation à Laura qui n’était pas au courant.
    Page 2
    Case 11 : Soudain, elles entendent du bruit ; c’est l’armée d’Augusto .
    Case 12 : Les filles s’interposent.
    Case 13 : Mais Augusto attaque. Il est bien décidé à prendre le pouvoir…
    Case 14 : C’est alors que Laura lance son plus puissant sort qui renvoie toute l’armée d’où elle vient.
    Case 15 : Les filles se disent au revoir et Isaline referme le portail.
    Case 16 : Quand à Pinochet, il ne revint plus jamais dans le monde magique.
    Alyssa, 7H , Val-d’Illiez, Suisse

    L’héroïne

    Page 1
    Case 1 : C’est l’été à Genève, Alyssa embarque à bord d’un avion de Swissaire pour Toronto au Canada.
    – Je suis impatiente d’y être.
    Case 2: Tout se passe pour le mieux. Une hôtesse passe avec des boissons.
    – Désirez-vous boire quelque chose ?
    – Oui, un coca s’il vous plait. Merci
    Case 3: On s’approche des côtes canadiennes. Je regarde par le hublot.
    – On aperçoit enfin la terre.
    Case 4: Quand tout à coup l’avion pique du nez.
    – Oh mon Dieu, on va s’écraser !
    Case 5: Tout le monde a peur, les passagers crient, pleurent.
    – Aaaaah !!!
    Case 6 : Une hôtesse parle au micro, demande au passagers de se calmer. ¨
    – S’il vous plait calmez-vous, tout ira bien.
    Case 7: Puis l’hôtesse demande si quelqu’un a des notions de pilotage.
    – Est-ce que quelqu’un a des notions de pilotage ?
    Case 8: Alyssa se lève, va voir l’hôtesse et lui dit :
    – Oui, j’ai déjà piloté des hélicoptères.
    – Super, venez avec moi.
    Case 9: Elle entre dans la cabine de pilotage.
    – Vous allez m’aider à faire atterrir cet avion.
    Case 10: Elle voit les deux pilotes inconsciants.
    – Mais d’abord, il faut porter les pilotes hors de la cabine.
    Case 11 : Avec l’hôtesse elles prennent la place des pilotes et réussissent à faire atterrir l’avion.
    – Je n’en reviens pas, on a réussi.
    – Merci, vous nous avez tous sauvé.
    Case 12 : Alyssa est accueillie en héroïne.
    – Bravo !

  3. Bonjour Monsieur Cornette,

    Quel travail, ce story board! La plupart d’entre nous n’a pas fini mais le travail en cours est prometteur. Voici le travail des 4 élèves qui ont terminé dans les délais (Constance, Martha, Samantha et Sarah). Les autres s’activent!

    A bientôt!

    Les élèves de P5FrA de l’école européenne BXL IV








  4. Bonjour

    Nos travaux avancent bien et nous sommes toujours aussi ravis de participer à la réalisation de ce projet. La classe de P5FrA vous remercie encore pour votre passage chez nous. Nous avons eu l’occasion de pouvoir discuter de votre métier et de nos projets. Vos conseils en dessins et pour l’écriture de notre histoire nous ont bien aidés.
    Nous attendons la suite avec impatiente ! Voici déjà les résultats de quelques travaux.

    Un grand merci

    La P5FrA de l’Ecole européenne de Bruxelles III (Ixelles)
    File: BDChiara.pdf
    File: BDKatarina.pdf
    File: BDNiki.pdf
    File: BDOlivia.pdf
    File: BDSara.pdf
    File: BDVictor.pdf

  5. Bonjour,
    Quelle étape intéressante… Tout devient concret ! Mais quel travail !:-)
    Les élèves sont super motivés et heureux de voir leur BD prendre forme. A tout bientôt pour la dernière étape.
    7/8HC ECLF Berne
    découpage écrit :
    Meurtre à Ankara par Lilia et Zainab
    Planche 1
    Case 1 : Vue sur Ankara avec Zainab, Lilia et des voitures.
    Case 2 : Lilia et Zainab marchent dans la rue.
    Lilia : Tu as entendu ?
    Case 3 : Zainab et Lilia se cachent derrière un mur et observent la scène de l’accident.
    Case 4 : Lilia et Zainab vont parler au policier.
    Zainab : Que s’est-il passé ?
    Policier : Ne vous mêlez pas de ça les enfants !
    Case 5 : Devant la scène du crime.
    Zainab : Eh ! Mais ce ne sont pas les affaires de notre acteur préféré ?
    Lilia : Mais alors, où est-ce qu’il peut être ?
    Case 6 : Zainab et Lilia inspectent une tache de sang.
    Case 7 :
    Zainab et Lilia : C’est une affaire pour nous !
    Case 8 : Zainab et Lilia posent des questions à un témoin.
    Lilia : Pensez-vous savoir qui sont les criminels ?
    Témoin : Je pense que oui. C’est une bande de malfrats qui a sûrement commis le coup. Ils habitent dans cette rue sombre là-bas.
    Planche 2
    Case 9 : Zainab et Lilia sont dans la rue sombre.
    Case 10 (à l’intérieur de la case 9) : Zainab montre du doigt des traces de pas.
    Zainab : Je crois qu’on a trouvé un indice.
    Lilia : Allons voir ça de plus près.
    Case 11 : Gros plan avec une loupe sur une trace de pas.
    Case 12 : Cartouche : 3 minutes plus tard.
    Des bruits se rapprochent de la porte pendant que Zainab et Lilia identifient la trace.
    Lilia : Vite ! Derrière les poubelles !
    Case 13 : Lilia et Zainab sont derrière les poubelles. Deux gars balafrés et tatoués discutent.
    Max (un des deux gars balafrés et tatoués) : J’t’avais dit qu’fallait pas emmener c’corps avec nous. A cause de toi, les flics vont nous repérer facilement.
    Case 14 : Zainab et Lilia sont derrière les poubelles entrain d’espionner les deux gars.
    Mike (l’autre gars) : T’inquiète Max, on doit juste effacer les traces et l’tour est joué.
    Max : T’as intérêt, parc’que s’ils nous trouvent j’aurai le plaisir de te faire la peau.
    Zainab et Lilia : Faut prévenir la police !
    Case 15 : Lilia et Zainab courent en se dirigeant vers le commissariat.
    Case 16 : Zainab et Lilia parlent avec un policier.
    Zainab : Nous avons trouvé les criminels. Ceux qui ont malheureusement tué l’acteur. Ils habitent dans la rue sombre à côté du célèbre restaurant japonais « Sushinouilles ».
    Policier : Alors ce sont eux ! Cette bande est très recherchée. Merci beaucoup les enfants.
    Case 17 : La police a attrapé la bande de criminels.
    Policier : Vous l’avez bien mérité !
    Case 18 : Lilia et Zaineb devant le président.
    Président : Zainab et Lilia ont fait preuve d’un grand courage en nous aidant à résoudre une affaire très sérieuse. Elles ont donc mérité un permis de détectives privées et un voyage à Antigua-Et-Barbuda loin des bouchons et de la pollution d’Ankara. Bravo !
    Case 19 : Lilia et Zainab sont en train de sauter sur la plage.
    Zainab et Lilia : Youpi !!!

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