1ère activité

Bonjour à tous !

Nous sommes réunis pour une nouvelle aventure créatrice.

Cette année, vous allez écrire une histoire avec d’autres classes de la BdL. Pour vous aider, Adrienne Barman, vous a préparé 3 illustrations.
Mais avant de commencer, il serait peut-être intéressant de découvrir qui est Adrienne. Voici le lien qui vous emmènera directement sur son site.

Maintenant que vous la connaissez un peu mieux, nous pouvons continuer les explications.

Je m’appelle Laurent et je serai présent tout au long de cette aventure pour gérer cet atelier.

Vous vous demandez comment va se dérouler cet atelier ?
Et bien voilà…

Adrienne m’a envoyé les 2 premières illustrations. Je vous affiche la première en entier.

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Chouette, n’est-ce pas ?

Voici maintenant quelques détails de la deuxième illustration.

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Maintenant, c’est à vous !
J’attends votre première publication sur le site d’ici au 3 décembre au plus tard.

Ensuite, chaque classe pourra voter pour le début de l’histoire qui lui plait le plus. Une fois le texte choisi, je publierai la deuxième illustration en entier et des détails de la troisième.

En cliquant sur la rubrique « Calendrier de l’activité », vous trouverez toutes les dates de l’activité.

Alors ! Au travail !

Laurent

10 réflexions sur « 1ère activité »

  1. LES MONTAGNARDS

    Dans la Suisse, quatre enfants et un adulte se promènent dans la montagne.
    Sur le chemin, ils voient: des oiseaux, un ours(qui nous regardait droit dans les yeux), un aigle, un écureuil et un poisson qui nageait dans une petite rivière. Par chance, ils on vu un beau cerf.
    Il faisait très beau quand soudain un arc-en-ciel pointa le bout de son nez.

    Classe de Mme Favre, Bex

  2. Bonjour, je m’appelle Nico Casquette et je vais vous raconter une drôle d’histoire.
    Tout a commencé par un bel après-midi des vacances de Toussaint. Pour l’anniversaire de ma cousine Josette Baluchette, on a fait une randonnée en montagne. Elle avait aussi invité trois autres cousins, Paul Siffleur, Hugo Lunetto et Juliette Couette-Couette. J’étais très content car le soir, nous devions dormir ensemble dans un vieux chalet où les parents de Josette nous attendaient. Ma mère ne s’était pas décidée pour nous accompagner, mais ce n’était pas grave. Josette qui était la plus âgée de nous tous connaissait bien le chemin. Nous avions promis d’être sages et de bien l’écouter. Nous attendions avec impatience la soirée car nous avions prévu de préparer un grand feu pour faire griller des saucisses et des chamallows.
    Nous nous promenions joyeusement sous un soleil éclatant. Il faisait beau et chaud. Nous admirions les prairies resplendissantes de mille fleurs qui sentaient terriblement bon. Un ruisseau coulait le long de la colline. Nous étions entourés d’oiseaux de toutes les couleurs. Des animaux nous regardaient passer. Nous étions émerveillés par cette belle nature. C’était l’endroit le plus chouette au monde. Nous ne nous doutions pas que nous allions nous perdre et que nous allions vivre une aventure palpitante.
    Comme toujours j’étais à la traine. C’est alors qu’un bruit m’a intrigué. « Ha ! Ha ! Je vais te manger petit saumon », ai-je entendu. En regardant, j’ai vu un ours et un saumon qui se disputaient. J’ai eu tellement peur que j’ai doublé les autres et nous avons continué la randonnée. Un peu plus loin, nous nous sommes arrêtés pour faire un jeu.
    Il commençait à se faire tard, le soleil allait se coucher. Nous avancions tranquillement mais il fallait se dépêcher pour trouver ce fameux chalet qui ne devait plus être très loin.
    Lorsque la nuit tomba, une bise froide se leva. On ne voyait rien. On avait faim. Josette a trébuché et fit tomber son balluchon dans une flaque. Paul continuait à siffler, mais je crois que comme nous tous, il commençait à avoir peur.
    A l’intersection de deux chemins, Hugo nous fit remarquer un panneau indicateur accroché à un arbre. Nous nous sommes approchés, pas très rassurés. Hugo prit sa lampe de poche, la braqua sur la pancarte et lut l’inscription d’un œil inquiet : « Manoir de la Terreur.» Paul a arrêté de siffler. Je compris à ce moment que nous nous étions perdus.

    Nous avons écrit chacun notre histoire. Ensuite nous avons rassemblé les meilleures idées et les expressions que nous préférions pour réaliser ce texte collectif.

    CM1 de l’Ecole Primaire Française de Genève
    Classe de monsieur Kolb

  3. Le pire week-end de l’année
    Un beau matin, le 14 mai, cinq adolescents se promenaient en montagne. Le premier, Benjamin sifflait tout le temps, la deuxième Amélie admirait la nature, la plus grande Géraldine se plaignait toutes les deux minutes, l’avant-dernier Boris, le plus petit mais le plus têtu et le dernier Arthur, le plus curieux.
    Le soir même, ils cherchaient un hôtel mais,
    malheureusement, il n’y avait plus de chambre libre. Le réceptionniste leur proposa d’aller dans un gigantesque hôtel non loin de là où il n’y avait jamais de client.
    Ils décidèrent de s’y rendre tout de suite parce qu’il faisait nuit noire.
    Quand ils arrivèrent, ils découvrirent un château hanté.
    Géraldine avait très très peur et se plaignait en disant : « Je, je n’ai pas pas envie de de rentrer dans ce ce terrible château et puis je je n’arriverai jajajamais à dodormir parce qu’il y a plein plein d’écl d’éclairs et il y a plein plein de de chauves-souris et il pleut des cordes… »

    Classe 6H de Madame Manzetti à BEX

  4. Salut, je m’appelle Hugo et j’ai 12 ans. Le printemps passé, il m’est arrivé une aventure incroyable. Tout a commencé, un matin, où mon meilleur pote Matteo est arrivé à l’école avec un prospectus pour une colonie de vacances. Avec sa sœur jumelle Aurélie, ils avaient prévu d’y aller et il voulait que je m’inscrive aussi. A midi, j’en ai parlé à mes parents. Et malheur… ils n’étaient pas d’accord ! Ils ont fini par accepter à condition que ma cousine Christine, qui est plus grande, vienne elle aussi. Christine a 15 ans , elle n’est pas méchante mais c’est une pimbêche et une vraie pot de colle. J’étais tout de même impatient à l’idée de partir en colonie car il y aurait mon meilleur ami et sa sœur. J’ai un petit secret à son sujet … heu… vous le découvrirez plus tard.

    Le grand jour du départ en colonie est enfin arrivé. Je suis allé chercher ma valise dans le placard et j’ai pris mes habits dans mon armoire : pantalons, pulls, culottes, chaussettes…
    Ma maman nous a conduits, Matteo, Aurélie, Christine et moi. Nous sommes arrivés une heure plus tard dans un très joli chalet. Nous nous sommes tous installés dans le même dortoir. Un certain Lénny est arrivé et nous a demandé s’il pouvait s’installer avec nous. Il était plutôt petit, avait des cheveux roux, des lunettes et ces quelques rondeurs lui donnaient un air sympathique. On l’a tout de suite trouvé cool.

    Le lendemain, une grande journée nous attendait. En effet, pour faire connaissance, les monos avaient décidé d’organiser un pique-nique dans la nature. Après celui-ci, sacs aux dos, nous avons commencé une grande marche pour retourner au chalet.
    Naturellement, on s’est mis les cinq du dortoir ensemble. Je me suis mis devant, suivi d’Aurélie, de Christine, de Lénny et de Matteo. Gentiment, notre groupe a pris un peu de retard sur les autres. Aurélie cueillait des fleurs pour faire un bouquet. Christine, Lénny et Matteo observaient les animaux et moi je sifflais « Un kilomètre à pied, ça use, ça use… ».A force, on a tellement traîné, qu’on n’a plus du tout vu les autres enfants.

    Soudain, un ours a surgi. Il nous regardait d’un air menaçant. C’était une femelle qui voulait protéger ses petits. Matteo le peureux de la bande s’est mis à crier et à courir. Christine a hurlé: – Sauve qui peut ! Sans réfléchir, on s’est tous mis à courir, mais dans la mauvaise direction. C’est ainsi que nous nous sommes perdus. On n’a plus vu l’ours mais on ne savait plus du tout où on était. Christine a sorti son téléphone portable pour essayer d’appeler un des monos. Mais horreur…. il n’y avait aucun réseau.

    On a paniqué. Que faire ? On ne pouvait pas rester là à attendre en vain. On a marché, marché pendant ce qui m’a semblé des heures… Il faisait de plus en plus sombre et il commençait de pleuvoir.C’est alors qu’au loin on a aperçu de la lumière.

    Classe de Magali Dobler, Courfaivre

  5. Le château et la montagne mystérieuse

    Un beau matin, cinq amis décidèrent de se rendre sur une montagne qui paraissait très bizarre. En effet, on disait qu’il y faisait jour et nuit à la fois : le soleil se couchait ou se levait à n’importe quelle heure du jour ou de la nuit. Il y avait des arcs en ciel, même s’il n’y avait pas plu avant. Bref, elle était vraiment bizarre et c’est pourquoi on interdisait à tout le monde d’y monter. Mais retournons à nos amis.
    Ils étaient en train de gravir cette montagne en sifflotant, quand tout à coup, un violent coup de tonnerre ébranla le sol. Les cinq amis sursautèrent et se demandèrent d’où cela pouvait venir car le ciel était d’un bleu très clair et sans un seul nuage. Enfin c’était le cas là où ils étaient car quelques pas plus loin le soleil se couchait déjà.
    C’est pourquoi, d’un coup, le soleil disparut laissant les enfants (car les cinq amis étaient des enfants) dans la peur et dans le noir…

    Classe de Anne BILLHARZ et Mélanie CASONATO, Ecole de PERLY-CERTOUX

  6. Bonjour, je m’appelle Lucie et aujourd’hui, samedi matin, je pars faire du camping avec mes trois copains : Matt, Chris et Jason et ma mère Lola. C’est mon jour préféré. Je vais vous décrire un peu mes amis. Matt, c’est l’intelligent, il trouve toujours les solutions. Chris, c’est le beau gosse, il fait craquer toutes les filles. Jason, lui, c’est le chanteur du groupe, il peut chanter n’importe quoi, c’est toujours beau. Il y a aussi ma mère, elle, c’est celle qui nous prépare les repas. En plus, elle me cuisine presque toujours ce que j’aime : frites, hamburger et coca. Pour finir, il y a moi, je suis la fascinée de la nature, j’adore les animaux, les fleurs, les arbres, l’herbe, les rivières et les arc-en-ciels …

    Là, nous nous promenions en plein milieu de la forêt pour chercher le lieu du campement.
    Sur le chemin, chacun avait sa part de travail. Matt nous indiquait le chemin, Chris portait le sac le plus lourd, Jason chantait pour mettre de l’ambiance, ma mère nous donnait des choses à grignoter et moi, j’expliquais aux autres le cycle de la nature. Après trois heures de route, nous nous sommes arrêtés devant un grand rocher et Lola a déclaré :
    C’est ici que nous camperons !
    Nous venions de passer une merveilleuse journée.
    Durant la nuit, lorsque je me suis réveillée pour aller boire de l’eau, j’ai vu de la lumière s’échapper du trou. Très intriguée, j’ai réveillé tous mes compagnons de route. Ils étaient tous aussi impatients de savoir ce qu’il y avait derrière ce rocher. Alors, on s’est tous mis à le pousser et… Il y avait une forêt merveilleuse. Nous avons traversé le rocher et avons passé le reste de la soirée là-bas à dormir. Le lendemain matin, nous avons poursuivi notre chemin dans la forêt merveilleuse. Il y avait tout ce que j’aime, c’est à dire des choses provenant de la nature. Le premier jour, nous avons marché deux heures, nous étions fatigués donc nous avons passé une très bonne nuit. Mais le lendemain matin, il a commencé à pleuvoir, tout est devenu très sombre. Alors, nous avons continué notre chemin à la recherche d’un abri.

    Classe de Laure Glaus et Nathalia Ramangalahy, école de Chêne-Bougeries, Genève

  7. Un jour, cinq amis se donnent rendez-vous
    à la montagne. Marc, Céline, Lucie, Hugo et
    Darrio s’installent pour pique-niquer et
    commencent à parler.
    – Vous voulez un sandwich? dit Céline.
    – Moi, je veux un sandwich au jambon, dit
    Marc.
    – Moi, je veux bien un au kiri, dit Lucie.
    – Regardez le bel arc-en-ciel ! Il y a plein de
    couleurs et aussi un beau soleil ! dit Hugo.
    – Regardez là-bas! Une grotte! Au moins il y aura de l’ombre !! dit Darrio.
    Nos cinq amis entrent dans la grotte et continuent leur route.
    Deux mètres plus loin, un ENORME
    trou qu’ils n’avaient pas vu.
    Ils tombent sec dedans.
    – Au secours ! Au secours ! crient les cinq enfants.
    Ils se relèvent tout pleins de boue trois minutes plus tard.

    – J’ai mal à la tête comme si j’étais tombée de cheval, dit Lucie.
    – J’ai l’impression que ma tête a été le ballon de foot du match de la coupe du monde, dit l’un des garçons.
    – Chut, j’entends un bruit étrange: tou, tou, tou, tou, tou…
    – Ah! La terre tremble ! Des rochers tombent!
    Un tremblement de terre !
    – Vite un trou ! Il faut se cacher avant que l’on
    finisse sous un rocher !!!
    – Je vois de la lumière ! Faufilons-nous pour
    sortir de cette grotte !
    Mais ils s’ aperçoivent que la lumière qu’ils ont vue venait de la foudre tombant sur un château hanté.
    La pluie tombe fortement. Ils sont à l’entrée de la porte brun foncé du château qui terrible avec ses tours rouge sang. Le château hanté se trouve dans un cimetière. Les fenêtres sont jaunes, couleur os.
    Les enfants poussent la porte grinçante et entrent avec peur. Céline voit une chauve-souris !! Elle s’ arrête devant un grand fantôme.
    Hou, hou…! hurle le fantôme .
    Les autres arrivent en courant.
    – Au secours! Un fantôme.
    – VOUS RESTEREZ ICI A TOUT JAMAIS!!!!!
    – Ha! Ha! Ha! dit le fantôme.
    Pourquoi faites- vous ça matin-midi et soir? demandent les enfants.
    – Car je suis tout seul et je suis vêtu d’une cape blanche! Qui pourrait être ami avec moi? répond le terrifiant personnage.
    – Mais nous on veut bien être tes amis!
    A condition que tu nous laisses partir moi et mes amis, dit Dario.
    Le fantôme accepte.
    Et avant de se quitter, ils pique-niquent ensemble.Voici comment on peut changer le monde en un claquement de doigt. Tout le contraire de ce que l’on
    avait imaginé

    Classe de Carole Garcia 6P école de Grand-Salève, Veyrier

  8. Un beau matin, le soleil était levé. Pauline qui était en vacances se promenait avec ces quatre enfants . Sa fille s’appelait Jeanne et ses trois garçons s’appelaient François, Kyanu et Paul. Ils étaient bien motivés pour marcher sauf Paul; quelque chose l’inquiétait et il avait bien raison.
    A la fin de la promenade, ils tombèrent sur un château lugubre et délabré, bref, c’était des ruines. Il était tard, et Pauline dit à ses enfants :
    – Allons visiter ses ruines. Nous y passerons la nuit.
    Tous les enfants étaient contre, mais Pauline s’en fichait et il était trop tard pour rentrer à la maison.
    Ils entrèrent donc et allèrent dans la salle à manger se préparer un repas.
    Quand ils eurent fini de manger, il allèrent tous dans les chambres qu’ils avaient soigneusement préparé. La nuit, alors que tout le monde dormait, Paul ne dormait pas, parce qu’il entendait des bruits bizarres. Il ouvrit la fenêtre et il vit une chauve-souris avec de longs crocs.
    Il cria :
    – Cette maison est hantée!!!
    Classe d’Eveline Langer, école des Champs-Fréchets

  9. La balade en famille

    Il était une fois une famille qui faisait une balade dans la montagne. Elle était formée de deux filles et de deux garçons. Le premier garçon s’appelait Tiago, le deuxième Matteo et les filles s’appelaient Inês et Gabriela. Tiago est très gentil, Inês voulait tout voir, Matteo est capricieux et Gabriela aime dormir. La maman Marie est gentille et le papa Sébastien est gourmand.
    Ils partent en montagne avec un pique-nique et des tentes pendant les vacances. Ils voient des chamois, des bouquetins, des marmottes, des aigles et des renards.
    En marchand au bord d’une rivière, Tiago demande :
    – Est-ce que nous pouvons dormir ici, maman ?
    – Oui, nous pouvons dormir ici.
    Ils dorment au bord de la rivière. Puis tout à coup Inês voit une fenêtre avec de la lumière. Elle voit aussi une chauve-souris et elle se met à crier.
    – Maman, dit Inês, nous pouvons partir d’ici. J’ai peur des chauves-souris.
    – Ma chère, nous ne pouvons pas partir. Viens dormir avec moi. Demain on rentrera à la maison.

    Classe de Mme Christen

  10. La marche à la montagne

    C’était le 18 juillet 2014. Nous étions au lycée de Mence. Mme Adrienne était une maîtresse qui avait peur des insectes et portait toujours le même petit pull rouge à points blancs. Ce jour-là, elle se baladait dans la cour du lycée. Elle croisa M. De la Molle Fesse, le directeur du lycée. M. De la Molle Fesse détestait Mme Adrienne. Chaque fois qu’ils se rencontraient, ils se faisaient des critiques. Cette fois-ci, M. De la Molle Fesse en eut assez. Il savait que la maîtresse détestait les insectes, alors, il eut une idée. Il lui fit un pari. Le pari était qu’elle devait emmener en montagne les quatre enfants les pires du lycée: Max avec ses pantalons rouges, Léonie avec sa petite couette, Peter avec son pantalon violet et Alex jamais sans sa casquette. Pour gagner le pari, la maîtresse devait rester avec les quatre enfants une semaine en montagne. Pour Mme Adrienne c’était un véritable cauchemar…

    7H Cornaux, classe de Sylvie Schoeni

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