3ème activité

Bonjour à tous,

Nous voici arrivés au 3ème chapitre ! Le plus difficile puisqu’il s’agit de terminer ce mini-roman, qui d’ailleurs a besoin d’un titre !

Cette fois, nous partons avec le texte original de la classe de Mme Dobler à Courfaivre et nous vous dévoilons la dernière illustration dans son intégralité.

Nous attendons jusqu’au 27 mars votre texte et 2 propositions de titre.

Alors, à vos stylos !

Voici les 2 premiers chapitres de notre histoire.

 

Chapitre 1

 

Bonjour, je m’appelle Nico Casquette et je vais vous raconter une drôle d’histoire.
Tout a commencé par un bel après-midi des vacances de Toussaint. Pour l’anniversaire de ma cousine Josette Baluchette, on a fait une randonnée en montagne. Elle avait aussi invité trois autres cousins, Paul Siffleur, Hugo Lunetto et Juliette Couette-Couette.
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J’étais très content, car le soir, nous devions dormir ensemble dans un vieux chalet où les parents de Josette nous attendaient. Ma mère ne s’était pas décidée pour nous accompagner, mais ce n’était pas grave. Josette qui était la plus âgée de nous tous connaissait bien le chemin. Nous avions promis d’être sages et de bien l’écouter. Nous attendions avec impatience la soirée, car nous avions prévu de préparer un grand feu pour faire griller des saucisses et des chamallows.

Nous nous promenions joyeusement sous un soleil éclatant. Il faisait beau et chaud. Nous admirions les prairies resplendissantes de mille fleurs qui sentaient terriblement bon. Un ruisseau coulait le long de la colline. Nous étions entourés d’oiseaux de toutes les couleurs. Des animaux nous regardaient passer. Nous étions émerveillés par cette belle nature. C’était l’endroit le plus chouette au monde. Nous ne nous doutions pas que nous allions nous perdre et que nous allions vivre une aventure palpitante.

Comme toujours j’étais à la traine. C’est alors qu’un bruit m’a intrigué. « Ha ! Ha ! Je vais te manger petit saumon », ai-je entendu. En regardant, j’ai vu un ours et un saumon qui se disputaient. J’ai eu tellement peur que j’ai doublé les autres et nous avons continué la randonnée. Un peu plus loin, nous nous sommes arrêtés pour faire un jeu.
Il commençait à se faire tard, le soleil allait se coucher. Nous avancions tranquillement, mais il fallait se dépêcher pour trouver ce fameux chalet qui ne devait plus être très loin.
Lorsque la nuit tomba, une bise froide se leva. On ne voyait rien. On avait faim. Josette a trébuché et fit tomber son balluchon dans une flaque. Paul continuait à siffler, mais je crois que comme nous tous, il commençait à avoir peur.

À l’intersection de deux chemins, Hugo nous fit remarquer un panneau indicateur accroché à un arbre. Nous nous sommes approchés, pas très rassurés. Hugo prit sa lampe de poche, la braqua sur la pancarte et lut l’inscription d’un œil inquiet : « Manoir de la Terreur.» Paul a arrêté de siffler. Je compris, à ce moment, que nous nous étions perdus.

 

Chapitre 2

 

Nous avions très peur, mais avions-nous le choix ? Soit nous mourrions gelés (d’autant plus qu’il commençait à tomber des cordes), soit nous nous décidions à suivre ce panneau peu rassurant. Nous avons opté pour la deuxième solution. C’est d’un pas prudent que nous nous sommes mis à avancer. De tous les côtés, on entendait plein de bruits bizarres.

Quelques minutes plus tard, un grand manoir se dressa devant nous au milieu d’un cimetière. Certaines fenêtres étaient éclairées et on pouvait y voir des ombres étranges. Des chauves-souris volaient au-dessus des tours. On entendait des cris d’animaux terrifiants. Il y avait des pierres cassées sur le sol.
Josette était blanche comme une feuille et nous tremblions tous de tous nos membres.
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C’est alors que, d’un arbre juste derrière nous, un squelette tomba avec une pancarte dans les mains sur laquelle on pouvait voir une flèche indiquant la direction de la porte du manoir suivi de « Entrez seulement !». De peur, Juliette Couette-Couette tomba dans les pommes. Paul Siffleur essaya de la réveiller avec trois claques, mais cela ne servit à rien. Alors en dernier recours, Hugo Lunetto décida de lui faire du bouche-à-bouche. Là, allez savoir pourquoi, elle reprit illico ses esprits.

Puis, soudain, dans un long grincement, la porte du manoir s’ouvrit toute seule.
Là apparut, sur le pas de la porte, un homme vêtu d’un long manteau noir.
Josette Baluchette hurla alors: – Nous sommes que des enfants, pitiééééé, ne nous faites pas de mal !
L’homme répondit d’une voix douce : – Oh mes pauvres enfants! Vous devez être terrifiés! Ce satané squelette fait peur à tout le monde. Mais n’ayez crainte, je ne vous veux pas de mal. Entrez vous réchauffer. Vous devez être gelés ! Venez manger un peu de gâteau !

Nous nous sommes tous regardés. Les dents de Josette Baluchette jouaient des castagnettes. Des gouttes de sueur tombaient du front d’Hugo Lunetto. Juliette Couette-Couette riait nerveusement et Paul Siffleur grelottait de froid ou de peur, je ne savais pas trop. Moi, mon cœur battait à 100 à l’heure. Nous avions la trouille d’entrer, car ce manoir n’inspirait pas vraiment confiance, mais la forêt derrière nous semblait encore plus terrifiante avec la nuit et les coups de tonnerre de plus en plus violents. De plus, cet homme n’avait pas l’air méchant !

C’est ainsi que, finalement, nous sommes entrés à l’intérieur du manoir. Dans l’entrée, on découvrit un immense escalier en bois. Aux murs, des portraits de chevaliers, des haches et des épées étaient accrochés. Une horloge près de la porte indiquait 20h00. Mon Dieu, nous étions en retard. Les parents de Josette devaient être morts d’inquiétude. L’homme monta l’escalier. Nous l’avons suivi.

Quand tout d’un coup… plus de lumière ! On s’est tous mis à hurler. Dans le noir, je suis redescendu l’escalier. Un peu plus loin derrière moi, j’entendais la voix de l’homme dire : – Cela doit être l’orage qui a provoqué une panne d’électricité. N’ayez pas peur !
À tâtons, j’ai retrouvé la porte d’entrée. J’ai essayé de l’ouvrir, mais… elle était verrouillée…

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Les 2 premiers chapitres

9 réflexions sur « 3ème activité »

  1. La blague
    Nous avons paniqué. Tout à coup, la lumière s’est rallumée. L’homme en noir nous a dit d’attendre dans deux pièces différentes. Hugo, Paul et moi étions dans une pièce et Josette et Juliette étaient dans une autre pièce.
    Quand nous sommes sortis des pièces, il y avait des sorcières, des fantômes et plein d’autres monstres devant nous. La sorcière nous a demandé si on voulait manger au manoir et nous avons accepté.
    Elle nous a conduit à la salle à manger. Là, il y avait un gâteau et plein d’autres choses.
    Tous ensemble, les monstres, la sorcière, les fantômes et l’homme en noir ont enlevé leur costume; et là, nous avons reconnu tous les parents. Alors je compris la blague. On a tous bien aimé cet anniversaire!!!

    Iris, de la classe d’Eveline Langer, école des Champs-Fréchets

  2. J’étais terrifié. Je voulais absolument ouvrir cette porte mais ce n’était pas possible. Derrière moi, il n’ y avait plus aucun bruit. J’étais seul !
    J’ai marché dans le noir pendant quelques minutes en suivant les murs…Puis, la lumière s’est enfin rallumée. Je me trouvais dans une cuisine. Je me suis mis à chercher dans les casseroles, dans les services, dans les tiroirs… Je ne savais pas vraiment ce que je cherchais !Un indice sur ce manoir ? Un moyen d’en sortir ?
    C’est alors que j’ai senti un souffle dans ma nuque et une main toute froide sur mon épaule. Je me suis retourné. C’était l’homme au manteau qui me souriait. C’est là que j’ai vu ces dents de vampire. J’ai hurlé, hurlé, tellement fort qu’une fenêtre s’est cassée.
    – Vous vous vous êêêêtes un vam un vam un vampireeee !
    -N’aie pas peur. Je suis Samir le vampire. J’effraie à tout le monde, mais je suis un vampire sympa, je t’assure. Comme tu n’étais plus là quand la lumière est revenue, tes amis étaient inquiets pour toi. Je t’ai cherché partout avant de finalement te trouver ici.
    – Où sont-ils ? Qu’avez-vous fait d’eux ?
    Ils sont dans la grande salle à manger. Suis-moi je vais t’y emmener. Tu dois mourir de faim. Il y a de la bonne soupe et du cochon au menu ce soir.
    Dans ma tête tout se mélangeait. Devais-je croire cet homme ? Et si jamais il était vraiment méchant ? J’étais perdu ! Mais je ne pouvais pas abandonner mes amis.
    Je l’ai donc suivi d’un pas tremblant. Nous sommes arrivés vers une porte. Là, il y avait un chandelier fixé au mur. Samir l’a pris dans la main et il l’a poussé vers le bas. Une porte s’est alors ouverte… c’était un passage secret avec un étroit escalier. Il y avait des tableaux sur les parois et au fond des marches, plein de lumière.
    Arrivé en bas de l’escalier, j’ai fait des yeux de merlan frit. Devant moi, se trouvait une grande salle où s’étendait un magnifique festin. J’en étais bouche bée ! Tous mes amis, Juliette, Paul, Hugo et Josette étaient là, bien vivants, en train de s’amuser avec d’étranges personnages. Samir me présenta Colette le squelette, Biscôme le fantôme, Turlututu le bossu, Berangère la sorcière, Jean-Roger le chevalier. Tout le monde discutait et rigolait. Finalement. Ces personnages bizarres n’étaient pas méchants ! Mon ventre s’est mis à ronronner à cause de la faim. Je me suis donc installé à table à côté de Colette le squelette. Jean-Roger a alors pris sa contrebasse, et s’est mis à jouer . Hugo Lunetto a invité Berangère la sorcière pour une petite danse pendant que Josette Baluchette faisait les yeux doux à Biscôme le fantôme.

    Dringgg ! Dringg ! Je me réveille en sursaut ! Tout cela n’était qu’un rêve. C’est demain que nous allons en montagne pour l’anniversaire de Josette Baluchette. J’espère que cela se passera bien !

    Classe de Magali Dobler, Courfaivre

    Propositions de titres : Une journée inconnue
    Une drôle de journée

  3. La lumière s’est rallumée et ma mère a crié « surprise » ! C’était un bal costumé avec pour thème : la terreur. Et dire que l’on s’était inquiété pour rien.
    Elle m’a expliqué que tout ça était fait exprès et que le soi-disant « chalet » était ce manoir.
    Au milieu de la salle se dressait une grande table avec une nappe rose. Sur la table, il y avait : un délicieux cochon en guimauve, des bougies, des assiettes, des verres et plein d’autres choses. Il y avait aussi un chevalier qui jouait de la contrebasse pour donner de l’ambiance. Après, nous avons savouré le cochon et toutes les autres choses à manger. Sur la piste de danse, Hugo Lunetto et Josette Baluchette dansaient un slow. Moi, je discutais avec un robot squelette, je lui demandai de me ramener tous les bonbons qu’il y avait sur la table. C’était la plus belle surprise de ma vie. Ma mère avait même amené mon chat et mes deux rats. C’était fantastique.
    Voici comment on peut changer une peur en rigolade.

    Classe de Carole Garcia, 6P, école de Grand-Salève, Veyrier-Genève

    Nos deux titres :
    UNE SURPRISE INATTENDUE
    UNE AVENTURE INCROYABLE

    Merci pour tout !

  4. J’étais en train de paniquer, quand tout à coup, nous avons entendu une musique. Une musique pas comme les autres, une musique sinistre, une musique d’un autre temps, une musique qui venait de l’étage où nous conduisait l’homme en noir. Plus on avançait, plus la musique était forte.
    Nous entrâmes dans une magnifique salle et l’homme en noir nous annonça : « Voici la sorcière pas belle mais gentille, l’ogre plutôt gros mais pas cannibale, le squelette pas meurtrier mais très galant (en parole), et pour finir le chevalier qui joue de la guitare comme les Beatles. Il met une bonne ambiance dans cette fête. Et moi, je suis Dracusang le vampire pas suceur de sang mais suceur de jus, j’adore ça!»
    Un serviteur un peu coquin s’amusait à éteindre allumer éteindre allumer les lumières. Au bout d’un moment la lumière s’est éteinte et elle ne s’est pas rallumée.
    -Eh serviteur ! Tu pourrais avoir la gentillesse de rallumer la lumière, demande le vampire.
    -Heu chef ce n’est pas moi cette fois-ci, dit le serviteur.
    Au bout d’un moment on a entendu des bruits bizarres et tous les monstres ont crié : AU SECOURS !
    -Qu’est- ce qui se passe ?, ai-je demandé.
    -C’est ….c’est l’âme du loup garou, dit Dracusang.
    -Attends, ça me rappelle un film, dit Hugo. Oui oui, maintenant je me rappelle, c’est « L’âme du loup garou revient », ajoute-t-il.
    -Et il se finit bien ce film ? demande Josette pas trop rassurée.
    -Assez bien, il y a juste un moment où tous les monstres meurent sauf le serviteur, explique Hugo.
    -Eh ! Mais j’y pense, tu crois qu’on a été téléportés dans ce film? Tu crois que c’est possible? dis-je.
    -Oui, j’ai déjà vu un film où les acteurs se sont trouvés dans la même situation que nous, dit Hugo. C’est sans doute ce qui nous est arrivé!
    -WOUAH! C’est incroyable! s’exclama Josette. On a été téléportés !
    -Si seulement je pouvais me réveiller! ai-je crié. Après, il s’est passé une chose très bizarre. Mes parents, ma cousine … étaient tous là autour de moi, dans ma chambre. J’avais fait un cauchemar de 24 heures. Et au début quand j’ai dit que j’allais vous raconter « une drôle d’histoire » je pense que c’était plutôt « un drôle de cauchemar ».
    Maintenant, je suis prêt pour la randonnée. J’espère qu’elle ne va pas se dérouler comme dans mon cauchemar. Heureusement, maman peut nous accompagner, je suis rassuré.

    Titres proposés :
    – Randonnée empoisonnée
    – 24h rêvées, top chrono !

    La classe de CM1 de l’Ecole Primaire Française de Genève

  5. Juliette Couette-Couette prit un sixtus et essaya de déverrouiller la porte.
    Mais ça ne servait à rien. Paul Siffleur se rappela de la hache à l’entrée du Manoir. Il tâtonna les murs pour la prendre et, d’un seul coup, détruisit la porte. Les cinq enfants contournèrent le Manoir et trouvèrent une autre porte. Elle était en bois et elle était ouverte. Les enfants entrèrent et ils trouvèrent une jolie salle à manger avec une immense table bien préparée et un gros cochon de lait sur la table. Des magnifiques chandeliers y étaient posés.
    Un ogre dit :
    – Venez, vous êtes nos invités, on va manger.
    Au son de la musique, une sorcière prit Hugo Lunetto par la taille et se mit à danser avec lui.
    Elle lui dit :
    – Ho, ho, tu es mignon, toi !
    Un zombie déclara :
    – Je prépare des brochettes d’araignée pour accompagner le plat.
    – Le vampire lui répondit :
    – Moi, je préfère les brochettes d’araignée avec du sang !
    Le squelette parla en rigolant à Nico Casquette :
    – Moi, je suis trop gros, je ne mange pas.
    – Ha, dit Nico au squelette, tu es très sarcastique !!
    La soirée se déroula dans la bonne humeur et les cinq enfants s’amusèrent et rirent durant toute la nuit.

    La classe 6H de madame Manzetti

    Titres proposés :
    Une folle aventure
    Sur les traces du Manoir hanté…

  6. C’est alors que je vis en-dessous du tapis une clé tachée de sang ou de ketchup. Je mis la clé dans la serrure. La porte s’ouvrit et je vis deux squelettes tworken contre un mur. Et là j’ai vu une discothèque de monstres. Hugo dansait comme un pingouin avec la sorcière Géraldine. Paul, Hugo, Nico, Josette et Juliette rigolaient, mangeaient un cochon (il s’appelait Michel) et là le vampire dit :
    – C’est l’heure du dessert !
    A ce moment, le chevalier bourré qui avait une culotte sur la tête, le chat qui dansait la macaréna et l’ogre attrapèrent quatre enfants et les mirent dans une soupe aux poils de verrues. Soudain Hugo qui avait survécu à la soupe trébucha sur une culotte de fourmi, glissa dans les escaliers et un pet de cochon le tua.
    Les montres joyeux firent la scène du Titanic avec les bras en l’air !

    Classe de Laure Glaus et Nathalia Ramangalahy
    6P/7P

  7. Drôle de Nuit
    J’ai tiré la poignée de la porte, en vain. Soudain, des bruits de pas retentirent dans l’escalier du haut. La pluie tambourinait contre la porte. Mes dents claquaient de terreur. Boum ! Les pas dans l’escalier se firent plus fort. Tout à coup la lumière se ralluma. Je me retournais et criais :
    – Piiiiiiiiitié ! Laissez-moi gentil squelette !

    Le squelette, autant apeuré que moi hurla :

    – Maman ! Au secours ! Un humain !

    J’essayais alors de me calmer puis de LE calmer lui aussi et je lui demandais :
    – Euh….Qui es-tu ?

    Il me répondit pas très rassuré :

    – Moi, je suis le « Squeletti Jalousi » par ce que maman me dit que je suis jaloux de toux ceux qui sont humains.

    Soudain, nous avons entendu des autres bruits de pas mais c’était plusieurs personnes qui descendaient les escaliers, j’ai eu peur mais en ouvrant les yeux j’ai compris :

    – On t’a cherché partout Nico, m’a dit Juliette.
    – Ah Nico t’es là ! On a eu peur pour toi ! M’ont dit les autres.

    Mes copains m’avaient cherché partout, j’étais soulagé. Puis petit à petit, nous avons rencontré un bossu chauve, un vampire, une sorcière et Josette Baluchette qui était un peu tombée amoureuse d’un joli petit fantôme !

    Alors les amis, vous voyez pour finir on s’est drôlement bien amusé dans ce manoir de la terreur.
    Le vampire et la sorcière nous ont même dit :
    – Demain on vous ramènera au chalet car nous connaissons le chemin, mais il est tard alors ce soir dormez ici et on va sortir la boule à facettes, manger, danser et faire la Fête du siècle !

    Je crois que ça a été le plus beau jour de ma vie !

    Titres proposés : Manoir de la Fête / Le Manoir Surprise

    Ecole de Perly-Certoux, Billharz / Casonato , 6P

  8. 2. proposition de titre :
    1. l’étrange anniversaire de ma cousine.
    2. Un drôle manoir rempli de terreur.

    Chapitre 3:
    Bientôt, la lumière se ralluma et tout d’un coup, une grande porte s’ouvrit en grinçant. Et nous sursautâmes, en voyant un squelette prononçait ces mots : « mais ton sang qu’est-ce qui s’est passé ici que j’ai rôle ? «Et Hugo Lunetto lui répondit : « rien d’important que vous auriez raté, juste une panne d’électricité, mais Monsieur le squelette, Harry s’il vous plaît, je m’appelle Harry mon enfant « dit le squelette. Oui, oui ! répondit Hugo, Mr Harry, pourquoi la porte est verrouillé parce que, nous peur de dehors » dit Harry. Mais où est l’homme vêtu d’un long manteau noir qui nous a dit d’entrer ? Demander Josette Baluchete. En ! dit harry, Dracula il est là en train de descendre. Les enfants, je vois que vous avez fait la connaissance d’Harry le squelette qui ne va pas tarder à vous haire entrer. En ces mots, Harry nous dit : entrez ! Entrez ! Donc, n’avez pas peur nous ne sommes pas méchant. Nous franchîmes le seuil de la porte d’un seul pas. Et là une énorme surprise nous guêtit. Nous vîmes fantômes les triples, une sorcière surnommée Smiesta, un chevalier surnommés terrifiant, un petit fantôme surnommé le petit, un homme laid comme une hyène ou plus bref surnommé laid, deux chauves-souris surnommés les jumeaux. Un grand ogre préparait la soupe dans une marmite dans la cheminée. La table à manger était remplie de bonne chose, jus de raisin, un cochon cuit qui a la bouche est bourrée d’une pomme au milieu d’un plat de salades et de légumes. Les chandelles brillaient et les plats et les verres étaient en argents. On prit un bon repas et le dessert fut tout aussi bon. On s’amusera beaucoup et tout le monde avait rit de bon cœur jusqu’à en pleurer. Tout à coup Josette Daluchette se sentit triste, ses parents lui manqués atrocement, alors Dracula la remarqua et s’approcha d’elle, lui demanda : qu’est-ce qui ce passe ma Josette ? Josette lui répondit : « juste que mes parents me manquent et qu’ils devraient être mort d’inquiétude. Dracula dit : si tes parents te manquent-on te ramènera terrifiant, prépare le chariot, oui tout de suite répondit le dernier. Allez venez les enfants ont va vous installez on ne se fit pas de prier pour ça. Un coup de fouet suffit aux chevaux d’avançaient. Les chevaux galopèrent si vite que nous ne vîmes pas la nature passée. Où habite vos parents ? demanda alors Dracula. Dans un chalet un peu ou nord vers les montagnes. « D’accord » dit simplement Dracula. Il vivra à gauche, à droite et entrepris tout droit et trébucha sur les pierres qui nous firent secouer. Nous aperçûmes au loin la fumée d’une cheminée en activité et bientôt des lumières. Cela ramera la joie dans le charriot. Le chalet était là devant nous. Personne ne pourrait pas croire ce qu’il voyait. Josette s’exclama : regarder là-bas, mes parents sont à l’entrée. En effet Josette avait raison, ses parents étaient là, fous d’inquiétude. La Chariot se rapprocha et se gara aux pieds des parents qui l’embrassèrent forts et ils pleuraient tous ensemble. Personne n’aurait pu imaginer après cette aventure palpitante un moment si émouvant. Les parents remercient les gentils monstres qu’ils voulaient inventer à dîner, mais ils refusèrent catégoriquement. Les parents surpris par ce refus dirent alors : « comme les gentils monstres ne veulent pas de votre invitation, vous n’aviez pas un petit mot de cinq lettres à dire ? Oui nous en avons dit Josette. Et nous dîmes tous ensemble : « merci les gentils monstres. Les gentils monstres respirent leur chariot et rentrèrent chez eux. La maman de Josette dit : « après cette palpitante aventure vous n’êtes pas fatigués « nous répondons ; « non, ne nous sommes pas fatigués même après cette palpitante aventure. Tout le monde rit et je dis alors :

    « FIN »

    Elèves du GSEM série B classe de M. Colane NGOM – Atelier d’Adrienne BARMAN série B

  9. Vite… Je cherchai une autre sortie, mais… il n’y avait rien. Absolument rien, paroles de Nico Casquette. Rien, mis à part la porte d’une chambre. Il y avait quelque chose d’écrit mais je ne réussis pas à lire. D’un coup, un éclair tomba et sa lumière éclaira la pancarte où il était écrit : « Chambre 115 ».
    J’entrai, mort de peur, la porte grinçait. Quand j’ai eu fini de l’ouvrir, un gros ronflement se fit entendre. Soudain, mes jambes me lâchèrent et je me retrouvai le nez sur le plancher. Dans la nuit j’avais vu deux yeux tout ronds me regarder. Je me remis sur pied et une voix lugubre me dit :
    – « Bonjour ! »
    Un petit cri sortit de ma bouche mais la voix me stoppa net :
    – « Chut, tu vas le réveiller ! »
    Elle me dit ensuite :
    – « Tu veux trouver une sortie, alors monte au dernier étage ! »
    Je lui répondis en tremblant :
    – Oui, oui, d’accord !
    La peur me faisait fuir. Tout ce que j’entendis avant de partir c’était : « Le plan fonctionne comme sur des roulettes ! »
    Je pensais à cette dernière phrase, elle me tourbillonnait dans ma tête. J’allais rejoindre l’endroit où les autres m’attendaient.

    Un nouvel éclair fit de la lumière dans le corridor. Cette fois-ci je n’en cru pas mes yeux : mes amis avaient disparu et à la place, je vis sur le plancher… les lunettes d’Hugo, le chouchou de Juliette et un bouton de la robe de Josette…
    Je me frottai les yeux. Etait-ce mon imagination qui me jouait des tours ?
    J’eus la réponse lorsque Juliette me prit par la main et m’entraîna dans l’escalier vers les autres. Là, nous entendîmes un nouveau dialogue : « – Bon, on rallume la lumière ? – Non, attendez un peu, j’aimerais faire durer le plaisir de les voir terrorisés ! – Ah, ah, ah ! »

    Un autre personnage dit alors :
    – Allez, Rallumez ! Tout le mérite revient à moi, c’est moi qui les ai emmené ici…
    Je reconnus la voix du truc qui m’avait fait peur dans la chambre. Et la lumière fut. On découvrit des fantômes, des rats, une chouette, une sorcière, un bonhomme très grand qui avait préparé un festin…
    Juliette Baluchette retomba dans les pommes et à nouveau il fallut lui refaire du bouche-à-bouche.

    – Je crois qu’on vous doit des explications. Nous sommes des acteurs et tournons un film pour le cinéma. Nous avions besoin d’enfants innocents… Bien sûr, vos parents sont au courant. Ils vont arriver, le chalet n’est pas loin. Et maintenant, musique et dînons !

    Juliette me confia plus tard que cela avait été son plus bel anniversaire.

    Classe de Sylvie Schoeni, 7H

    Proposition de titre :
    Le Manoir hanté

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