Bonjour,
En ce début janvier, nous vous envoyons nos meilleurs voeux pour une belle et lumineuse année, riche en découvertes intéressantes…
Prêts pour ce deuxième épisode ? Laurent Audouin s’est inspiré de la proposition de la classe de 5-6P de Rossemaison qui a recueilli le plus grand nombre de coups de coeur et vous propose une deuxième illustration fort intéressante.
C’est donc à partir de ce premier chapitre que vous allez construire la suite de l’histoire.
Ce soir-là, Léa et moi on jouait à cache-cache dans la cour de l’école.
Oh désolé, j’ai oublié de me présenter. Je m’appelle Alex et j’ai dix ans. Léa, c’est ma meilleure copine.
On jouait tranquillement dans la cour. J’étais caché derrière un arbre et Léa me cherchait dans les buissons. Tout à coup, j’ai entendu des pas. Je suis sorti de ma cachette et je suis allé discrètement vers Léa. Nous avons vu un homme entrer dans l’école. Il avait un chapeau noir et tenait quelque chose dans sa main. Je n’ai pas pu voir quoi mais il me semble que c’était un poignard.
Au premier étage, il y avait de la lumière : notre maîtresse, Madame Moucheboume, corrigeait nos contrôles. L’homme au chapeau noir est entré dans notre classe. Il s’est disputé avec la maîtresse. Après, on a entendu des cris mais on ne voyait rien.
On avait peur, alors Léa et moi, on est allés chercher Luc et Morgane parce que eux, c’est pas des trouillards. Quand nous sommes revenus, il n’y avait plus personne dans la classe. Nous avons trouvé les lunettes de la maîtresse par terre et la porte de la classe était cassée.
Soudain, nous avons entendu un bruit de moteur. Tous les quatre, nous sommes allés regarder par la fenêtre. Nous avons vu une voiture rouge qui démarrait avec quelqu’un à l’arrière. C’était peut être la maîtresse. Mes amis et moi, nous avons descendu les escaliers en courant. Quand nous sommes arrivés en bas, il y avait un bout de papier par terre qui était certainement tombé de la voiture. Léa s’est baissée, l’a ramassé et a lu à voix haute ce qui était écrit dessus : « Rue Michelet ».
« – Je sais où c’est, a dit Luc. C’est près de chez mes grands-parents.
– Allons-y ! , a dit Morgane.
– Non, il se fait tard, rendez-vous ici à 7h30 demain matin avec vos vélos, ai-je dit. »
Voilà les amis, à vos stylos ! Nous attendons votre deuxième chapitre d’ici au 28 janvier. N’oubliez pas de signer vos textes !
Bien du plaisir !
Michèle
Classe de Trélex, Mmes Oberson-Rivat
Notre histoire (2ème épisode)
… Alors, les enfants rentrent chez eux pour dormir.
Le lendemain matin, les quatre amis prennent leur vélo et se retrouvent à la rue Michelet.
Là, ils voient la voiture rouge, la même qu’ils avaient vue le soir d’avant, qui démarre. Ils restent tout étonnés. Tout à coup, ils aperçoivent un bout de papier sur la route, sur lequel est écrit:
«Au secours! 028 0662244».
Léa s’exclame: « J’ai une idée, allons au commissariat prévenir la police!»
Luc répond: «Non, j’ai envie que nous menions l’enquête nous-mêmes, comme des grands.»
Alex ajoute d’un air malicieux et impatient: «Alors, allons-y, menons l’enquête.»
Léa s’écrie: « Mais je suis trop petite pour mener une enquête, j’ai peur, moi!.»
Les trois grands insistent et se précipitent vers une cabine téléphonique. Heureusement, Luc a quelques pièces de monnaie dans sa poche. Il compose le numéro de téléphone qui se trouve sur le billet. Il laisse sonner plusieurs coups et tout à coup…
Classe de 56H à Saint-Aubin-Sauges S. Junod
Un grand merci à Laurent Audouin et à l’équipe de la bataille des Livres pour cet atelier 🙂
Voici notre proposition:
Le lendemain matin, Luc, Morgane et Léa m’attendaient avec leur vélo. Sans perdre de temps, nous sommes partis en direction de la rue Michelet. Soudain, nous apercevons la voiture rouge. Léa crie : « Il faut la suivre ! » et elle se lance sans attendre à sa poursuite avec Morgane.
Au même moment, un monsieur sort de la boulangerie et nous regarde drôlement avant de poursuivre son chemin. A sa hauteur, un bout de papier qui était certainement tombé de la voiture est par terre. Avec Luc nous décidons d’attendre que l’homme disparaisse pour aller le prendre. J’ai alors lu à haute voix ce qui était écrit dessus : « 5a 7ème étage ». Ensuite, nous rejoignons les filles qui avaient perdu la trace de la voiture. Léa nous informe : « Elle est entrée dans ce garage ! ». Sur la porte de l’allée d’à côté, il était écrit… 5a.
« Mais ça veut dire que… » dit Luc en montrant le bout de papier aux filles. «Ca veut dire… » répéta Morgane.
Sans attendre, nous entrons tous les quatre dans l’allée. Devant l’ascenseur, une dame attend déjà. Nous la saluons puis quand l’ascenseur arrive elle nous demande : « Quel étage ? ». En cœur, nous lui répondons : « 7ème étage ». « Vous êtes sûr ? » nous demande alors la dame très étonnée avant de quitter l’ascenseur…
Bonjour, voici la suite de notre fameuse histoire…
nous sommes les 5P de Porrentruy, classe de Eric Häni et voici une photo de classe :
Le lendemain matin, nous nous retrouvons tous les quatre dans la cours de l’école avec nos vélos et nous nous sommes mis en route pour la rue Michelet.
En chemin, Léa aperçoit une voiture rouge parquée devant la boulangerie « au bon accueil ».
Nous nous cachons vite derrière une maison. Trop tard. L’homme au chapeau noir sort de la boulangerie un croissant à la main. Morgane n’a malheureusement pas eu le temps de nous rejoindre dans notre cachette. En la voyant, l’homme mystérieux plonge dans sa voiture qui démarre en trombe. Alors qu’un deuxième billet tombe de la voiture.
Nous nous précipitons sur le papier : « N°10 », lit Léa à haute voix.
Nous avons repris nos vélos et sommes partis direction la rue Michelet. Nous avons laissé nos vélos chez la grand-mère de Luc et avons marché prudemment jusqu’au n°10.
Nous avons tout de suite reconnu la voiture rouge garée dans le garage entrouvert. Nous nous sommes glissés discrètement à l’intérieur.
Je me suis approchée de la porte qui mène dans la maison, je l’ai ouverte et j’ai soudain entendu un terrifiant cri de femme…
A suivre…
Bonjour à tous de la part des élèves de 5h-6h de Vercorin! Voici ce que nous avons imaginé:
Le lendemain matin, j’ai retrouvé mes 3 amis et nous sommes partis en direction de la rue Michelet. Devant la boulangerie, Luc trouve un billet. Il le ramasse et lit une série de chiffres.
-C’est sûrement un numéro de téléphone. Au coin de la rue se trouve une cabine. Il compose le numéro. Il s’agit du Musée de préhistoire de la ville !
Nous fonçons sur nos vélos au Musée. Le réceptionniste nous dit qu’un homme habillé en noir accompagné d’une femme avaient rejoint le sous-sol du Musée ; ils avaient l’air très pressés.
Dans une petite pièce du sous-sol, on voit une drôle de machine. En s’approchant plus, Morgane voit un écran.
-Oh regarde, on y voit un troupeau de diplodocus. Et là , juste derrière ces buissons, mais….c’est….la ….maîtresse !!!!
Léa découvre une petite porte sur le côté de la machine.
-On dirait une machine à voyager dans le temps. Allez, venez, on va rejoindre notre maîtresse.
Tous les quatre, on s’installe à l’intérieur de la machine, puis j’actionne un levier et on s’est tous retrouvé…..dans les buissons . Les filles crient : Madame Moucheboume ! Mais que faites-vous ici ?
La maîtresse nous explique qu’elle est à la recherche de la pierre de vie.
L’homme en noir en a besoin de toute toute urgence !
Luc marmonne : -Mais je me demande quand même pour quelle raison ce drôle d’homme en noir a besoin de cette pierre de vie ? Et pourquoi c’est si urgent ?
Madame Moucheboume sait qu’il existe une légende très ancienne selon laquelle une empreinte magique de dinosaure près d’une grande cascade devrait nous permettre de la trouver, cette précieuse pierre de vie.
Notre groupe se met en marche. La maîtresse nous dit d’avancer sans bruit. Dans cette région, les archéologues ont retrouvé des fossiles de terrifiants vélociraptos. Après plusieurs heures de traversée dans une forêt sombre, nous apercevons la cascade.
Je découvre une énorme empreinte de dinosaure juste à côté. Je place ma main au centre de la trace. Aussitôt, un mur derrière la cascade s’effondre. Tous les cinq, on entre dans cette grotte. Tout au fond, une pierre brille d’une lumière bleutée…
Bonjour à tous,
Tout d’abord, nous souhaitons vous remercier pour avoir choisi notre premier chapitre!
Bravo et merci à Laurent Audouin, nous aimons beaucoup vos illustrations!
Voici notre proposition pour la suite de l’histoire :
Le lendemain matin, Luc, Morgane, Léa et moi, nous nous sommes retrouvés à l`école comme prévu. Mais Léa avait oublié son vélo. Heureusement que Luc avait un porte-bagages. Il voulait la prendre dessus mais Léa avait trop peur, donc j`ai prêté mon vélo à Léa et je suis allé à sa place sur le porte-bagages.
Ensuite nous sommes partis direction rue Michelet. Luc nous a bien guidés et nous sommes arrivés à destination. Nous avons vu la même voiture rouge que hier soir juste devant une boulangerie. Comme Luc et Morgane n’avaient pas déjeuné, ils sont allés acheter du pain à la boulangerie. La voiture a démarré. Sous la voiture, il y avait un papier. Alors, nous avons pensé que c’était un indice. Nous avons soulevé le papier nous avons lu : baguette, croissants au chocolat, pain tessinois… bref, nous avons vite compris que ce n’était pas un indice. Nous avons mis le papier à la poubelle. Au même moment, nous avons entendu un cri qui venait de l’immeuble d’en face. Ça ressemblait au cri de la maîtresse quand elle nous gronde.
Quelques minutes plus tard, Luc et Morgane sont sortis de la boulangerie avec des miettes tout autour de la bouche et une baguette dans les mains. Nous leur avons raconté ce qui s’était passé et nous avons décidé d’entrer dans l’immeuble mais la porte était fermée à clé. A travers la porte, on a vu une silhouette approcher. Léa a crié on avait tous peur. On était pétrifiés.
Nous avons vu la poignée bouger lentement, puis la porte s’est ouverte. C’était la grand-maman de Luc. Elle a dit : « Bonjour les enfants ! Que-ce que vous faites ici ? » J’ai répondu qu’on attendait quelqu’un. « Est-ce qu’on pourrait rentrer dans l’immeuble ? » a demandé Luc. « Pour faire quoi ? » a dit la grand-maman. « On avait rendez-vous au troisième étage mais la porte était verrouillée ». La grand-maman de Luc nous a accompagnés au troisième étage et elle nous a proposé un petit chocolat. Moi j’ai tout de suite dit oui parce que j’adore ça. Léa aussi. Luc et Morgane n’en ont pas voulu parce qu’ils venaient de déjeuner. Elle nous a donné les chocolats, puis elle est allée regarder son feuilleton.
Soudain, les copains et moi, nous avons entendu des bruits derrière la porte numéro 20. Alors on a décidé d’aller sonner.
Classe de 5P-6P de Mme Mazzarini, école de Rossemaison
Bonjour,
Voici le texte de la classe 3P/5H de Vionnaz…
Le lendemain matin, nous sommes partis à la recherche de notre maîtresse. Sur le chemin, Léa tombe du vélo et se blesse. Elle a très mal à la jambe. Morgane appelle les urgences. Léa part dans l’ambulance. Avec Morgane et Luc, nous nous rendons chez la maman de Léa pour la prévenir.
En attendant des nouvelles de Léa, nous allons continuer nos recherches dans la rue Michelet. Luc demande au boulanger s’il a vu une voiture rouge. Il nous a répondu qu’il avait vu une voiture rouge qui roulait en direction de la prison.
Sur le chemin de la prison, nous passons devant l’hôpital. Nous décidons d’en profiter pour aller voir Léa. Heureusement, elle va bien. Elle n’a qu’une entorse et elle peut sortir de l’hôpital pour continuer l’aventure avec nous.
Nous arrivons à la prison. Devant la prison, il y a la voiture rouge avec notre maîtresse à l’intérieur. La maîtresse est attachée sur le siège avant, elle a du sang sur la tête. Nous nous approchons de la maîtresse et nous la détachons. Nous lui demandons comment est le voleur et où il se trouve. Elle nous répond que le voleur est entré dans la prison pour délivrer sa bande de copains voleurs. Nous voyons la police qui arrive. Les policiers nous montrent les photos du voleur et de ses copains.
Au même moment, le voleur et ses copains sortent de la prison. Les policiers se mettent à courir après les voleurs qui s’enfuient.
Morgane appelle les secours pour soigner la maîtresse. En attendant l’ambulance, elle nous raconte tout ce qui lui est arrivé.
Classe de 5FRS1 de St-Aubin – S. Jacot – M. Jeanneret
Voici ce que nous avons imaginé pour la suite de l’histoire…
6h52: Je me réveille. Il faut que je me dépêche si je veux être à l’heure.
Je me prépare, je prends mon vélo et je file. Je retrouve Morgane qui elle aussi est déjà prête. Quand tout le monde est là, nous partons tous direction « Rue Michelet ». Très vite, on retrouve la voiture rouge. Léa dit:
– Regardez la voiture rouge… elle est devant le restaurant « Au bon accueil ». Ne perdons pas de temps, allons-y.
– Vous entendez ces cris? fait remarquer Luc. Ils viennent de l’immeuble d’en face.
Nous montons à toute vitesse dans les escaliers et au premier étage, parterre, nous découvrons le poignard… Je le soulève et il y a un petit mot dessous.
Luc le prend et le lit:
– Au secours ! Aidez-moi ! Mes ravisseurs veulent m’emmener à Paris, signé la maîtresse.
Nous décidons de partir au commissariat pour avertir que la maîtresse a été kidnappée. Les policiers se moquent de nous.
– Je ne pense pas que ce que vous dites est vrai, dit l’un d’eux. Vous êtes des enfants plein d’imagination mais votre histoire est ridicule!
C’est alors que Luc montre le billet et le poignard… Les policiers sont prêts à nous aider.
7h00, je me réveille. Je suis tellement pressé que j’oublie de déjeuner. Vite, je sors à toute vitesse et je prends mon vélo.
7h30, nous sommes tous les quatre à l’école avec l’adresse « Rue Michelet ». Luc nous y conduit.
Quand nous arrivons à la rue Michelet, on voit la voiture rouge qui roule très vite.
– Les amis, c’est mon tonton, là, avec la baguette de pain ! dit Morgane.
Nous courons vite vers lui.
Mon tonton dit :
– C’est votre maîtresse dans la voiture, elle était attachée ! J’ai aussi vu la plaque : 076727
– Eh les amis, je dois aller aux toilettes, dit Léa
Alors on s’arrête devant le restaurant « Au Bon Accueil ». Luc nous dit :
– Je trouve que les gens ici sont vraiment bizarres, nous ne rentrons pas, sauf toi Léa.
Pendant que Léa est aux toilettes, nous trouvons une petite feuille parterre. C’est l’adresse de l’homme au chapeau noir qui a enlevé la maîtresse. A ce moment, Léa revient, on prend nos vélos et nous essayons de retrouver la voiture rouge.
Classe d’Epenex à Ecublens, Mme La Rocca
File: Texteslvesbataille.pdf
File: Texteslvesbataille-1.pdf