2ème activité

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Voici le texte que vous avez choisi au mois de décembre :

Une fois, Nicolas a voulu rêver mais il n’y arrivait pas. Alors, il est allé chez un ami qui l’a amené à un autre ami qui lui a présenté un troisième ami qui était un arbre sorcier. Le garçon lui expliqua :
– Je voudrais rêver.
– Et bien, va dormir ! conseilla l’arbre sorcier.
– Oui j’ai déjà essayé, mais je n’y arrive pas ! répliqua Nicolas.
400 répliques plus tard, il est rentré en catapulte crée par l’arbre sorcier avec ce que celui-ci lui avait dit. Il atterrit sur un lit placé au sommet d’un rocher rocailleux et pointu comme un cure-dent. A côté de lui, on voyait un immense précipice. Une « chièvre » (un mélange de chien et de chèvre) arriva sur le lit et lui dit :
-Chalut, tu fais quoi ichi ?
-Je m’appelle Nicolas, répondit-il sans prêter attention à la question posée.
Et finalement il lui raconta tout ce dont il se souvenait.
– Où suis-je arrivé ? questionna Nicolas.
– Tu es chur le mont des rêves du mal.
– Vraiment ? demanda Nicolas.
– Oui et che chuis ta grand-mère ver de terre du tonnerre drôlement en colère comme un dromadaire, dit-elle en riant.
– Quelle blague ! grogna Nicolas.
– Oui, ch’est mon métier de faire des blagues.
Et la chièvre riait tellement qu’un éboulement se déclencha.

Maintenant, il est temps à nouveau de se remettre au travail. A partir de ce texte, vous inventerez la suite de votre histoire. Comme lors de la première partie, je vous propose quelques détails de la prochaine illustration…

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Vous avez jusqu’au 28 janvier pour publier votre texte et n’oubliez pas de le signer.
Bon travail !

10 réflexions sur « 2ème activité »

  1. École Européenne de Bruxelles IV Classe P5FRC Mme Bourgeois

    Le ciel s’assombrit et le lit bascula. Nicolas et la chièvre tombèrent. « Que faire ? », demanda Nicolas inquiet. « Le drap peut voler ! », dit la chièvre en riant. Sur ce commentaire, Nicolas prit le drap, attacha la chièvre à sa ceinture grâce à une ficelle qu’il avait trouvée et sauta du lit.
    « –  Attend, che dichais cha pour rire », dit la chièvre. 
    – Quoi, tu as… »
    Nicolas n’eut pas le temps de terminer sa phrase qu’ils sentirent qu’ils commençaient à flotter. Le drap leur servait de parachute et ils purent voler.
    « Que ch’est beau, les nuaches ! On dirait des rochers ! »
    Mais soudain, leur descente s’accéléra et tout devint noir autour d’eux. Des fragments de lumière éclairaient de temps en temps quelques images… ou plutôt des actions. Soudain, tout devint plus net et Nicolas vit qu’il s’agissait de cauchemars. Il y avait toute sorte de cauchemars : des cauchemars de monstres, de tempêtes. Il y avait aussi des cauchemars bizarres tel celui où un enfant fuyait devant une dent. En voyant ce cauchemar, la chièvre éclata de rire et dit :
    « –  Regarde cette dent, on dirait une poire noire ! 
    Ce que tu dis n’a aucun sens», répondit sèchement Nicolas.
    Il alla ajouter quelque chose lorsque son regard fut détourné vers une grande île qui, contrairement aux autres visions, restait immobile. Nicolas voulut s’approcher pour l’admirer de plus près. Comme s’il avait compris les pensées du garçon, le drap les précipita sur cette île.
    «  – Non, pas là !, se plaignit la chièvre. Je ne chuis pas la bienvenue !
    Trop tard », répondit Nicolas.
    Soudain, le drap les fit descendre doucement. Nicolas pouvait maintenant remarquer ce qu’il y avait sur l’île. Tout y était si bizarre ! Il y avait des champignons géants, des fleurs géantes et même l’herbe était géante ! On pouvait aussi voir les montagnes desquelles ils étaient tombés.
    Nicolas était trop occupé à contempler une sauterelle qui jouait de la guitare pour remarquer le petit écureuil qui lui, les observait attentivement. Le petit animal dit :
    « – Ça faisait longtemps qu’il n’y avait pas eu d’enfants ici. Peut-être celui-ci saura se montrer à la hauteur !
    A la hauteur de quoi ? », demanda Nicolas surpris d’entendre cette voix.
    « Chache cheulement que tu vas atterrir chur un cauchemar chans héros. », répliqua la chièvre.

  2. Classe de P5 FrA de l’école Européenne BXL IV

    – Oh non, qu’est-ce que tu as fait? cria Nicolas à la chièvre en entendant gronder l’éboulement.
    – Ch’est mon rire! Il déclenche à chaque fois che genre de catachtrophe!, répondit la farceuse en hurlant.

    Nicolas s’empressa d’improviser un parachute de fortune à l’aide de sa couverture. Il attrapa la chièvre et la tint fermement contre lui grâce au drap. ils descendirent ainsi en douceur pour se poser sur un énorme champignon à l’allure peu engageante.

    -Tiens, chalut Kebab! lança la chièvre en faisant signe à un petit écureuil volant qui semblait les avoir accompagnés durant leur descente.
    – Buon giorno la Chièvrita! lui répondit le petit animal d’un ton enjoué.

    Nicolas, très étonné par l’endroit où il s’était posé n’eut même pas le temps d’essayer de comprendre qui était Kebab que son attention fut déjà attirée par une étrange sauterelle qui jouait du banjo.

    -Et amigo, je vois qué tou as remarqué Géraldo la sauterelle, s’exclama Kebab.
    -Mais enfin où sommes-nous? demanda finalement Nicolas un peu excédé par toutes ces bizarreries.
    – Nous chommes dans la forêt des cauchemars et nous aurions mieux fait de rechter là-haut! murmura la chièvre.
    – N’ayez crainte, amigos, Géraldo va nous montrer où faire dodo. Il est le guide idéal dans cette forêt.

    C’est ainsi que ces quatre improbables compagnons s’enfoncèrent dans ces lieux étranges et peu rassurants…

    • Classe de 7H de Saxon, Valais, Suisse

      – Oh la la !
      Vite ! Il prit la couverture et en fit un parachute. La chièvre prit le drap et fit un nœud à la taille de Nicolas.
      – Misère, nous challons tomber…
      Par chance, le vent les poussa dans la forêt habitée par des animaux enchantés. La chièvre lui demanda :
      – Qu’est-ce qu’on fait ichi ?
      – Je ne sais pas.
      Le jeune garçon, un peu énervé, arriva au bord d’une rivière. Nicolas était un peu perdu. Soudain, il entendit une belle mélodie. C’était une sauterelle nommée Belle qui jouait de la guitare. Elle donnait un concert à son ami Ouille la grenouille qui s’était endormie, car beaucoup trop ennuyeux à son goût. Ouille se réveilla à l’instant où la chauve-souris Fifi, qui était également là comme spectatrice, s’envola à coups d’ailes. Nicolas partit aussi.
      Le pire était à venir : une énorme grenouille courait après lui. Le garçon courait pour échapper aux sales pattes de la grenouille. Il trouva une cachette, mais il avait peur qu’elle soit habitée. Il en trouva une autre et alla se cacher à l’intérieur. Nicolas voyait derrière lui des lueurs rouges.

  3. Classe de Sainte-Union ( 5° A) de Tournai Belgique

    Le lit perdit l’équilibre
    –          Au secours, j’ai peur dit la chièvre
    –          Accroche-toi à moi, répondit Nicolas
    Nicolas attrapa la chièvre. Il se servit de la couverture pour la serrer contre lui. Puis, il prit le drap et le transforma en parachute . Les deux amis se laissèrent guider.
    Soudain, le parachute perdit de l’altitude et Nicolas découvrit un monde bizarre.
    –          Regarde comme ché beau, lui dit la chièvre
    Tout était géant. Il y avait des fleurs énormes de toutes les couleurs. Des gros champignons multicolores poussaient un peu partout. C’était fantastique ! Nicolas venait de découvrir un monde de rêve.
    Tout à coup, un écureuil volant s’approcha d’eux
    –          Bonjour, qui êtes-vous ? moi, je m’appelle Oscar et je suis chef d’orchestre.
    –          Mon nom est Nicolas et voici ma nouvelle amie, la chièvre !
    –          Enchanté, répondit l’écureuil
    –          Nous sommes perdus, expliqua Nicolas.
    –       Nous, nous répétons un refrain pour fêter l’anniversaire de notre arbre sacré. Lady, la cigale nous accompagne en jouant du  ukulélé.
    –       Ca vous dirait de nous aider ?

  4. Classe 8FRFH2 de Fleurier, Val-de-Travers, Suisse.

    Malgré sa peur, Nicolas eu l’idée d’utiliser son couvre-lit comme parachute. Mais tout à coup, il vit la chièvre et eut pitié d’elle. Il décida de l’attacher à sa taille avec son drap. Malheureusement elle paniqua et se mit à remuer.
    Le nœud fait en vitesse commença à se défaire et tout à coup la chièvre tomba.
    L’écureuil, qui en fait était un polatouche et qui pouvait donc voler; prit de la vitesse, piqua en flèche et fonça sur la chièvre afin de la faire dévier sur un champignon. Malheureusement, elle rebondit et tomba au plein milieu de l’étang. Heureusement, elle savait nager et parvint à rejoindre le bord. « Oh, ch’ai fait un rebond chur un champignon comme un ballon !  » : s’écria-t-elle en sortant de l’eau toute dégoulinante.
    Cette phrase et toutes les mésaventures qu’ils avaient eues auparavant leur rappelèrent qu’ils avaient faim. Nicolas eut l’idée de manger des champignons.
    Non loin de là, un criquet qui jouait du banjo perché sur un gros champignon les observait et rigolait tout bas, car il savait que ces champignons étaient hallucinogènes.

  5. Dès que l’éboulement se fit, Nicolas fabriqua une drap-parachute.
    La chièvre lui dit :
    – Cha va ? Che crois que j’ai créé un éboulement.
    – Ça va, mais par contre, je crois que nous sommes arrivés dans un drôle d’endroit. Répondit Nicolas.
    – Je crois que nous avons atterri au pays des merveilles, il y a plein d’animaux bizarres.
    – Comme qui ?
    – Comme Criquetbanj.
    – C’est qui ?
    – Ch’est mon ami qui parle bizarrement en jouant du banjo.
    – Y’en a-t-il d’autres ?
    – Choui, comme le Volatécureuil.
    – C’est quoi ?
    – Ch’est mon copain, tu l’as aperchu avant sur le sapin, c’est une écureuil complètement taré !
    – Il y en a d’autres ?
    – Choui, la grenouille-chialleuse, elle pleure tout le temps, à cause des énormes champipi. D’ailleurs, je ne t’en ai pas parlé, ils donnent la chance de rêver !

    Classe de 7P, école du Pré-du-Camp, à Plan-les-Ouates, Genève, Suisse.

  6. Classe de 7e, école primaire Reconvilier, Berne, Suisse

    Et tout à coup, le lit commençait à pencher.
    – Il faut vite descendre d’ici! dit Nicolas.
    – Oui c’est vrai, chinon on va tomber! répondit la chièvre.
    Nicolas prit la couverture et le drap pour redescendre. Enfin arrivé au sol, il demanda à la chièvre:
    – En fait, c’est quoi ton nom?
    – Moi, c’est Blanquette! s’exclama la chièvre.
    Ils virent des créatures bizarres. Une sauterelle qui jouait du banjo et portait un chapeau de paille. Il y avait aussi une grenouille qui pleurait. Nicolas et Blanquette sont allés la consoler.
    – Qu’est-ce qu’il y a? lui demanda Nicolas.
    – J’ai perdu ma maman vers les montagnes! gémissait la grenouille.
    – Viens avec nous! proposa Nicolas.
    Et ils se dirigèrent vers des montagnes très dangereuses, sans le savoir.

  7. Voici le texte de l’école communale de Lonzée, Belgique.

    Précipitamment, Nicolas attrapa la chièvre et un drap, avec lequel il l’attacha autour de sa taille.
    – Mais qu’eche que tu fais ? demanda la chièvre.
    – Je t’emmène avec moi, dit Nicolas, sinon tu vas mourir si je te laisse là.
    Il saisit sa couverture pour s’en servir comme parachute afin d’amortir leur chute, et il se précipita dans le vide.
    Après une heure de vol, ils arrivèrent au pied du mont des Rêves du Mal. Ils tombèrent dans une forêt de champignons géants. Le petit écureuil volant les avait suivis en cachette.
    Tout à coup, Nicolas entendit des pleurs.
    -Ouin, ouin, tu as cassé ma maison, dit une petite voix.
    – Mais où suis-je ? lui demanda Nicolas.
    – Ouin, ouin, répéta la voix, tu as cassé ma maison.
    Mais ce fut le petit écureuil qui répondit à sa question :
    – Tu es surrrr le mont des rrrrêves du Mal.
    – Hein ???
    – C’est le mont des rrrrrêves du Mal, cria l’écureuil.
    – Mais qui est che bête animal qui ne chait pas chouer de la guitare ?
    Le criquet se retourna vers eux très vexé et lui dit :
    – Bête chèvre, tu ne connais rien à la musique !
    – Je ne suis pas une chèvre mais une chièvre. Je chuis ta grand-mère, vers de terre, drôlement en colère comme un dromadaire.
    – C’est une plaisanterie idiote, répondit le criquet.
    – Ce n’est pas une plaichanterie, c’est une blague.
    Le criquet en avait ras la casquette et il arrêta la discussion. C’est à ce moment que Nicolas se rendit compte que les pleurs continuaient toujours et il décida d’aller à la rencontre des sanglots.

  8. Bonjour,

    Veuillez trouver ci-dessous notre proposition pour la suite du texte.
    En vous remerciant,

    P5FrA Ecole européenne de Bruxelles III

    Une rafale de rochers tomba du mont qui était juste à côté de celui où étaient Nicolas et son compagnon blagueur. Le lit bascula d’un coup. Vite, Nicolas rattrapa sa couverture et tomba dans le drap. La chièvre forma un nœud pour accrocher le tout. Des rochers, des pierres, des galets tombèrent ; Nicolas les évita avec précaution. Après deux minutes tout était tombé et il ne restait qu’un gros nuage de poussière.

    Au loin, ils pouvaient entendre un bruit de plus en plus fort : « OUHHHH, OUHHH, OUHHH,… Ca va les gars ? Et bah, c’est un de mes premiers vol plané avec une si grosse rafale de pierres. C’était un écureuil qui volait.
    Nicolas stupéfait posa la question suivante : « Qui êtes-vous ? »
    – Moi ? Je suis un reuil-planneur ! En deux mots, un écureuil qui fait du vol planage.
    – Ech, tuch t’appelles comment ? demanda la chièvre.
    – Comment ?
    – Il te demande comment tu t’appelles. Dit Nicolas.
    – Ah, mon nom ? Eh bien, je n’en ai pas dit-il tristement. Mais vous pouvez m’en donner un, non ?
    – Ouich, mêch lequel ?
    – Oh ! C’est comme vous voulez, je ne suis pas très difficile.
    – On pourrait te donner le nom d’un aliment que tu aimes bien. Dit Nicolas.

    Après avoir traversé les nuages de poussière, ils arrivèrent enfin à terre et atterrir avec une petite musique calme et douce.
    – Qu’est-ce donc cette musique ? Demanda Nicolas.
    – Chè peut-être ton ventre qui grogne ! ricana la chièvre.
    – Eh mais c’est mon amie la cigale ! Se réjouit le reuil-planneur. Elle s’appelle Ctigly, elle est muette mais pour exprimer ce qu’elle veut dire elle le joue avec son banjo.
    – Elche ach l’air plutôt monotone ! Dit la chièvre.
    – Par contre, je dois avouer que c’est un beau pays. Dit Nicolas en regardant autour de lui.
    – Et d’ailleurs, c’est pas ton lit, là-bas ! Dit le reuil-planneur.
    Tous regardèrent dans la même direction.
    – Il est intact ! se réjouit Nicolas.
    – Oui, en plus j’étais là où tu as atterri avec ton lit. J’étais sur l’arbre d’à côté mais j’étais trop occupé à manger mes glands au lieu de te demander d’où tu venais.
    – Chepas pour vous mais moi ché faim ! Se plaint la chièvre.
    – He ! Attendez, Ctigly me dit qu’il y a un pommier remplis de chocopommes.
    – Chèch chquoi desch chocopommes ? demanda la chièvre.
    – Des chocopommes, ce sont des bonbons à la pomme avec une noisette de chocolat à l’intérieur. Expliqua le reuil-planneur.

    Tous allèrent manger des chocopommes et firent un grand somme. Nicolas dans son lit, la chièvre dans l’herbe, Ctigly dans une tulipe et le reuil-planneur dans le pommier.

  9. Suite à l’éboulement, Nicola et la chèvre se retrouvèrent dans une autre dimension ou ils durent avec une montre. Ils furent sauvés par un nouvel ami qui était un écureuil volant. Ils demandèrent à l’écureuil de les aider à sortir de cette dimension. Il leur donna une autre voie qui va les mener dans une autre ile plus calme ou il y’avait plus de danger. Dans l’ile tout était rose et calme. Tout à coup, la chèvre vit sa sœur puis retrouva sa famille au complet. Il invita Nicolas à passer la nuit. Au petit matin, Nicola, après un appétissant petit déjeuner remercia tout le monde et s’en alla. Il chercha un moyen pour sortir de ce monde. Vers six heures l’alarme sonna puis il sursauta et se rendit compte que tout cela n’était qu’en mauvais rêve. Finalement il était bien heureux car il avait réussi à rêver grâce a l’arbre sorcier. Il était heureux.

    La série D du Groupe Scolaire Etienne et Monique – Mbour au Sénégal qui se joint au groupe pour ce deuxième épisode.

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