3ème activité

Bonjour à tous,

Chaque histoire doit avoir une fin !

Nous sommes enfin arrivés au 3ème chapitre qui aura la lourde tâche de conclure les pérégrinations de Nicolas et de ses amis.

Notre mini-roman a d’ailleurs également besoin d’un titre !

Nous repartons avec le texte original de la classe de P5FrA Ecole européenne de Bruxelles III

Vous avez jusqu’au jusqu’au 27 mars pour terminer cette histoire. En dehors de votre texte, nous attendons 2 propositions de titre.

Alors, à vos stylos !

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Chapitre 1

Une fois, Nicolas a voulu rêver mais il n’y arrivait pas. Alors, il est allé chez un ami qui l’a amené à un autre ami qui lui a présenté un troisième ami qui était un arbre sorcier. Le garçon lui expliqua :
– Je voudrais rêver.
– Et bien, va dormir ! conseilla l’arbre sorcier.
– Oui j’ai déjà essayé, mais je n’y arrive pas ! répliqua Nicolas.
400 répliques plus tard, il est rentré en catapulte crée par l’arbre sorcier avec ce que celui-ci lui avait dit. Il atterrit sur un lit placé au sommet d’un rocher rocailleux et pointu comme un cure-dent. A côté de lui, on voyait un immense précipice. Une « chièvre » (un mélange de chien et de chèvre) arriva sur le lit et lui dit :
-Chalut, tu fais quoi ichi ?
-Je m’appelle Nicolas, répondit-il sans prêter attention à la question posée.
Et finalement il lui raconta tout ce dont il se souvenait.
– Où suis-je arrivé ? questionna Nicolas.
– Tu es chur le mont des rêves du mal.
– Vraiment ? demanda Nicolas.
– Oui et che chuis ta grand-mère ver de terre du tonnerre drôlement en colère comme un dromadaire, dit-elle en riant.
– Quelle blague ! grogna Nicolas.
– Oui, ch’est mon métier de faire des blagues.
Et la chièvre riait tellement qu’un éboulement se déclencha.

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Chapitre 2

Une rafale de rochers tomba du mont qui était juste à côté de celui où étaient Nicolas et son compagnon blagueur. Le lit bascula d’un coup. Vite, Nicolas rattrapa sa couverture et tomba dans le drap. La chièvre forma un nœud pour accrocher le tout. Des rochers, des pierres, des galets tombèrent ; Nicolas les évita avec précaution. Après deux minutes tout était tombé et il ne restait qu’un gros nuage de poussière.

Au loin, ils pouvaient entendre un bruit de plus en plus fort : « OUHHHH, OUHHH, OUHHH,… Ca va les gars ? Et bah, c’est un de mes premiers vol plané avec une si grosse rafale de pierres. C’était un écureuil qui volait.
Nicolas stupéfait posa la question suivante : « Qui êtes-vous ? »
– Moi ? Je suis un reuil-planneur ! En deux mots, un écureuil qui fait du vol planage.
– Ech, tuch t’appelles comment ? demanda la chièvre.
– Comment ?
– Il te demande comment tu t’appelles. Dit Nicolas.
– Ah, mon nom ? Eh bien, je n’en ai pas dit-il tristement. Mais vous pouvez m’en donner un, non ?
– Ouich, mêch lequel ?
– Oh ! C’est comme vous voulez, je ne suis pas très difficile.
– On pourrait te donner le nom d’un aliment que tu aimes bien. Dit Nicolas.

Après avoir traversé les nuages de poussière, ils arrivèrent enfin à terre et atterrir avec une petite musique calme et douce.
– Qu’est-ce donc cette musique ? Demanda Nicolas.
– Chè peut-être ton ventre qui grogne ! ricana la chièvre.
– Eh mais c’est mon amie la cigale ! Se réjouit le reuil-planneur. Elle s’appelle Ctigly, elle est muette mais pour exprimer ce qu’elle veut dire elle le joue avec son banjo.
– Elche ach l’air plutôt monotone ! Dit la chièvre.
– Par contre, je dois avouer que c’est un beau pays. Dit Nicolas en regardant autour de lui.
– Et d’ailleurs, c’est pas ton lit, là-bas ! Dit le reuil-planneur.
Tous regardèrent dans la même direction.
– Il est intact ! se réjouit Nicolas.
– Oui, en plus j’étais là où tu as atterri avec ton lit. J’étais sur l’arbre d’à côté mais j’étais trop occupé à manger mes glands au lieu de te demander d’où tu venais.
– Chepas pour vous mais moi ché faim ! Se plaint la chièvre.
– He ! Attendez, Ctigly me dit qu’il y a un pommier remplis de chocopommes.
– Chèch chquoi desch chocopommes ? demanda la chièvre.
– Des chocopommes, ce sont des bonbons à la pomme avec une noisette de chocolat à l’intérieur. Expliqua le reuil-planneur.

Tous allèrent manger des chocopommes et firent un grand somme. Nicolas dans son lit, la chièvre dans l’herbe, Ctigly dans une tulipe et le reuil-planneur dans le pommier.

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6 réflexions sur « 3ème activité »

  1. Bonjour à tous,

    Voici les 2 deux titres proposés par la classe 7H de Saxon, Valais, Suisse :
    – Un rêve magique
    – Nicolas et son deuxième monde

    Voici également la fin de l’histoire :

    Le soir, Nicolas n’arrivait pas à dormir. Il alla donc réveiller tout le monde et il leur demanda :
    – Je n’arrive pas à dormir. Voulez-vous aller faire un petit tour avec moi ?
    – Avec joie ! répondirent-ils tous en chœur.
    – Où veuch-tu alléch ?
    – Je ne sais pas. Avez-vous une idée ? dit Nicolas.
    – Oui. Moi, j’en ai une, s’exclama le reuil-planeur. Si on allait voir la grenouille Belle ?
    – C’est qui la grenouille Belle ? demanda Nicolas.
    – C’est elle qui joue du banjo avec Miss Ctigly. Elle est très sympa, expliqua le reuil-planeur.
    – Alors, allons la voir ! s’exclama Nicolas.
    Nicolas et ses nouveaux compagnons s’approchèrent de l’étang pour écouter ce concert inédit à la lueur des lucioles. Belle commença à chanter :
    – Sur ma croaque, il y a eu du croaque, de l’aventure dans l’croaque, une vie de croaque, sur ma croaque, ma croaque, ma croaque, sur ma croaque, ma croaque, ma croaque, …
    L’écureuil arriva à côté de Nicolas et cria :
    – Arrêtez de jouer de la musique !
    Mais la sauterelle et la grenouille continuèrent. Alors, il répéta encore une fois :
    – Arrêtez !
    Après un moment, Miss Ctigly avait l’air affamée et fatiguée. Nicolas prit des chocopommes et en donna à tout le monde. Quelques heures plus tard, ils écoutèrent cette douce musique jusqu’à ce qu’ils s’endorment.
    A la fin de la chanson, son rêve se termina et il ne se rappela plus de rien. Il se retrouva dans sa maison. Dans sa chambre. Dans son lit. Avec son chien surnommé « chièvre » qui dort à ses pieds.

  2. Bonjour, bonjour!

    Voici nos 2 propositions de titres ainsi que le dernier chapitre de cette histoire:
    – Le rêve de Nicolas
    – Un voyage extraordinaire au pays des rêves

    Nicolas se réveilla au pied d’un arbre. Le ventre bien dodu, la chièvre mangeait des lucioles.
    – Tu vas déclencher la fin des lucioles à lunettes si tu n’arrêtes pas, lui dit Nicolas.
    Nicolas et la chièvre ont marché un petit moment puis ils ont retrouvé Ctigly et Jipsy, une grenouille. Le reuil-planneur avait souvent parlé d’elle.
    Nicolas a demandé à la grenouille comment sortir de ce monde et elle lui a répondu:
    -Derrière toi, il y a une porte. Si tu ouvres la porte, tu trouveras des escaliers. En-bas des escaliers, tu apercevras un sorcier-devinettes. Si tu résous les 12 devinettes qu’il te propose, tu pourras rentrer chez toi. Mais si tu échoues, tu devras rester ici pour toujours!
    Nicolas et la chièvre se sont mis en route. Quelques 1’000 marches plus tard, ils sont arrivés vers le sorcier. Après 12 devinettes, Nicolas a pu rentrer chez lui.
    Et maintenant, chaque soir, il retourne dans ce monde extraordinaire et ses amis l’accueillent avec un grand sourire… et toi aussi!

    Classe de 7e de Reconvilier, Berne, Suisse

  3. Voici le texte de la P5frA de l’école Européenne Bruxelles IV:

    Comme titres, nous proposons:

    – Drôle de rêve…

    – Nicolas, l’enfant qui rêvait de rêver.

    Après leur somme, ils se réveillèrent à côté de l’arbre à choco-pommes. Nicolas se releva et commença à explorer les alentours. Il crut voir au loin des lueurs jaunes :
    – Hé, les gars, vous allez jamais me croire, regardez ce qu’il y a là-bas !
    Tous ses compagnons se précipitèrent vers lui.
    – Que se passe-t-il ? demanda la Chièvre, en se plaignant.
    – Regardez, là-bas, il y a des lumières bizarres ! répliqua Nicolas.
    – Oh oui, allons voir che que ch’est, non d’un criquet.
    Ils s’éloignèrent prudemment sur le chemin qui serpentait à travers les arbres obscurs.
    – Hé ! Attendez-moi les amis. Je suis tombé dans une crevasse, non d’un gland ! protesta le Reuil-planeur.
    – Arrête de te plaindre ! On va te donner un prénom. Tiens, Cache-Noisette, cela t’irait bien, car tu es cache-pieds et tu raffoles des noisettes ! répliqua la Chièvre, qui rigolait déjà de sa blague débile.
    Ils découvrirent alors un marais, mais pas un marais qui pue, ni un marais boueux, non, un beau marais éclairé par un groupe de lucioles. Un crapaud y chantait en pleurant sur un nénuphar.
    – Pourquoi pleures-tu ? demanda Nicolas.
    – Je n’ai aucun autre public que ces lucioles sourdes, répondit-il en pleurant.
    – Chi tu veux, on peu être ton public, proposa la chièvre.
    – Vous feriez ça pour moi ?
    – Bien-sûr !
    Le crapaud se mit aussitôt à chanter et danser avec son banjo. Ctigly accompagna alors le batracien. Nicolas et Casse-Noisette s’endormirent sur le nénuphar au doux son des cordes de cet étonnant duo.
    Une fois réveillé, Casse-Noisette murmura :
    – Je crois que ce crapaud pourrait nous aider.

    Nicolas demanda au crapaud :
    – Ô, toi ; comment tu t’appelles ?
    – Mooooi, je m’appelle le Crapaud-pleurnicheur.
    « Quel drôle de nom, pensa Nicolas. Il demanda à la Chièvre pourquoi le crapaud s’appelait comme ça et pourquoi il pleurait. Elle lui répondit qu’il avait été ensorcelé par la sorcière qui vivait à la frontière du pays des rêves et des cauchemars.
    Tout d’un coup, Nicolas prit fuite par la forêt.
    Tous les animaux se posèrent la même question : «Où allait-il ? »
    Ils lui emboitèrent le pas et l’appelèrent. Mais on n’entendait que des échos et aucune réponse provenant de Nicolas. Soudain le Reuil-planeur s’exclama : « Regardez sur la colline ; c’est Nicolas ! »
    Effectivement, une silhouette escaladait la montagne.
    – Mais où va-t-il ? , demanda la Chièvre.
    – Il va sûrement voir Cora, la sorcière, répliqua le Crapaud-pleurnicheur en faisant une grimace.

    Les trois amis se remirent en marche, guidés par l’écureuil.
    Arrivés jusque à la colline, ils retrouvèrent Nicolas qui s’était blessé en trébuchant sur une ronce.
    – Chois prudent mon enfant !
    – Oui, oui ne t’inquiète pas … , répondit Nicolas qui en avait marre de cette Chièvre.

    Nicolas serra très fort ses compagnons dans ses bras et il entra dans le manoir de Cora. Celui-ci était fait de brique noir et il était bordé d’un fleuve noir comme du charbon. Des plantes grimpantes couvraient ses murs. Et tout l’intérieur lui inspirait de l’inquiétude. Il arriva dans la salle du trône, respira un bon coup et frappa à la porte. Aussitôt elle s’ouvrit toute seule.

    La sorcière était vêtue d’une robe en dentelle noire et de souliers noirs. Cora accueillit Nicolas et il lui expliqua sa mésaventure.

    – Bois ça et tu seras ramené dans ta chambre ! exigea Cora d’un ton sec.
    – D’accord, répondit Nicolas d’une voix tremblante.

    Il but la fiole remplie d’un liquide blanc que Cora lui avait tendue et il fut aussitôt ramené dans son lit. Il entendit alors une musique qui venait du coffre à jouets. Il ouvrit celui-ci et vit quatre peluches : la chièvre, Ctigly, le crapaud pleurnicheur et Casse-Noisette. Ces deux derniers étaient mécaniques : le crapaud jouait une douce mélodie sur un banjo de bois tandis que la Chièvre rigolait étrangement d’une voix métallique. Nicolas fut très heureux de retrouver ses amis et joua avec eux ces beaux jouets pendant toute son enfance.

  4. Bonjour,

    Voici nos deux propositions de titres et la fin de l’histoire :

    -Un rêve bien étrange
    -L’extraordinaire voyage de Nicolas

    Nicolas rêva qu’il était de nouveau chez lui dans sa chambre.
    Dans son sommeil il cria : « Quoi ! C’était seulement un rêve. Oh non ! ». La chièvre qui dormait sur une touffe d’herbe bien tendre à côté de son ami le réveilla.
    -Nicolach ! Nicolach !
    -Ah ouf ! Tu es toujours là !
    -Pourquoich ach-tuch criéch ?
    -J’ai rêvé que j’étais de nouveau chez moi, mais heureusement ce n’était qu’un rêve.
    -Pschut, taisez-vous ! dit le reuil-planneur depuis son pommier.
    -Qui a –t-il ? intervint Nicolas.
    -Vous n’entendez pas cette jolie musique ?
    – Ach, ouaich, c’est jolich. On va voir d’oùch ça vient ?
    Les trois amis suivirent la douce mélodie et se dirigèrent vers
    l’étang. Là, ils n’en crurent pas leurs yeux. Ctigly était assise sur
    une grosse pierre au bord de l’étang en train de jouer du banjo, mais
    elle était accompagnée par un crapaud géant.
    Nicolas et le reuil-planneur s’installèrent confortablement sur un
    nénuphar pour écouter ce beau concert. Autour d’eux, pleins
    de lucioles brillaient comme des petites lanternes dans les airs.
    Nicolas repensa alors à son rêve et à toutes les aventures
    surprenantes qu’il avait vécues avec ses nouveaux amis.
    Même s’il n’aimait pas beaucoup l’école son ancienne vie lui manquait
    parfois et ses parents devaient être morts d’inquiétude.
    -Que chje t’aime, que chje t’aime, que chje t’aime…
    C’était la chièvre perchée sur un caillou au bord de l’étang qui
    chantait à gorge déployée.
    -Moi j’aimerais trop devenir chanteuche, raconteuche,
    blageuche et comme cela je chserais toujours heureuche,
    s’exclama la chièvre avant de partir dans un grand éclat de
    rire.

    -Ne rigole pas trop fort, tu vas de nouveau déclencher une
    catastrophe, cria Nicolas.
    Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que le vent se mit à
    souffler bizarrement. Tout à coup une énorme tornade arriva
    sur eux et l’aspira haut dans les airs.
    Nicolas perdit connaissance. Lorsqu’il se réveilla enfin il était dans
    son lit, dans sa chambre.
    « J’ai drôlement mal à la tête » : pensa-t-il. « Quelle heure
    est-il ? et quel jour sommes-nous ? » : il me semble que j’ai dormi
    une éternité.
    -Nicolas il faut te lever si tu ne veux pas être en retard à l’école ! cria sa mère depuis le bas des escaliers.
    -Oh, non ! J’aurais bien encore dormi un peu, pesta Nicolas.

    Lorsqu’il se leva, il vit un petit rond tomber de son lit et rouler sur le tapis de sa chambre.
    – Mais qu’est-ce que c’est ? je n’ai pas mangé des chocopops dans mon lit ? bizarre pensa Nicolas.

    La classe 8FRFH2, du Val-de-Travers (Suisse).

  5. Le lendemain, Nicolas et ses amis se réveillèrent en sursaut par une grenouille.
    – Oh ! Qui va là ? Dit Nicolas.
    – C’est moi, la grenouille à grande bouche, répondit-elle.
    – Chalut à toi ! Dit la chièvre.
    – Comment vas-tu ? Dit le reuil-planneur.
    – On va te donner un vrai prénom ! Euhmmm….Nospiencraft !
    Allons faire un tour pour chercher de la nourriture. D’accord , dirent-ils tous en coeur.
    – Oh ! Regardez, ch’ai trouvé un ch’gros bol de ch’oupe…
    – Parfait ! Dit Nicolas.
    – Oh…regardez un étang. Allons nous asseoir bord, dit Nospiencraft.
    Et ils s’assirent et commencèrent à chanter…

    Classe de 7P (Mme Derippe) à l’école du Pré-du-Camp (Suisse)
    Titre choisi : Le voyage de Nicolas

  6. Suite à l’éboulement, Nicola et la chèvre se retrouvèrent dans une autre dimension ou ils durent avec une montre. Ils furent sauvés par un nouvel ami qui était un écureuil volant. Ils demandèrent à l’écureuil de les aider à sortir de cette dimension. Il leur donna une autre voie qui va les mener dans une autre ile plus calme ou il y’avait plus de danger. Dans l’ile tout était rose et calme. Tout à coup, la chèvre vit sa sœur puis retrouva sa famille au complet. Il invita Nicolas à passer la nuit. Au petit matin, Nicole, après un appétissant petit déjeuner remercia tout le monde et s’en alla. Il chercha un moyen pour sortir de ce monde. Vers six heures l’alarme sonna puis il sursauta et se rendit compte que tout cela n’était qu’en mauvais rêve. Finalement il était bien heureux car il avait réussi à rêver grâce a l’arbre sorcier. Il était heureux.
    Fin de l’histoire
    La série D du Groupe Scolaire Etienne et Monique Mbour (Sénégal)

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