3ème étape

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Nous attendons vos productions pour le vendredi 8 mars.

12 réflexions sur « 3ème étape »

  1. Classe 8P Fontenais

    LE MATIN
    Je recouvre mon corps. Ça fait plaisir, nous avons du retard. « Interdit aux filles capturées ». Lord Canterville avait été trouvé noyé dans ses toilettes. Jin Black était assis sur sa maman. Alors Napoléon jeta des kleenexs :
    -Partir d’ici, plus loin, des os humains.
    -Tester la fiancée du type ?? T’as bien compris ton rôle ? Sortir avec une fille. C’est comme sortir avec un chien.
    -Du tout, j’ai envie d’être célèbre. J’ai les yeux sur les deux avenirs. Il est temps de tricher sur mon régime.

    LE MIDI
    Au milieu d’un ruisseau, nous allons brûler la prison. Léa, une philosophe, se promène bravement à l’Olympique. Napoléon jeta un regard de gingembre.
    – Cet imbécile de Gargamel tête de rouleau à tarte ! J’ai loupé un mythe ! Et la chair de poule, décapitée !
    – Je ne mange pas son perroquet ; j’ai dû finir par préparer cette poutine…
    -Vous voyez la fin du monde ?
    – Personne ne m’a vu…

    LE SOIR
    -Pourquoi Satan est mort à vingt ans ?
    Pitch fait flotter des allumettes sur des vipères.
    – Ce cri du cœur a-t-il un numéro ?
    Et avec Marino, Lisa sentait le rouge…
    -Je cueille cette imbécile de viande crue !
    -Non, mais pour qui tu me prends ?
    -C’est moins facile à céder que le look d’un James Bond.
    – Mon amour pour toi, je n’ai pas à le regarder !
    -Toute la vérité sur mes meufs de 5èmes… Seconde rencontre, vu la situation.
    -Je regrette une belle robe. Je sais que le poids de la culpabilité est beuglant.

  2. Bonjour, c’est Julima Altadiol de la classe de Daniela De.Biasi Favre (8 Fr 252) de la Chaux-de-Fonds. Je vais vous raconter comment je passe mes journées.
    LE MATIN
    Je craque et je les recrache. Je ne peux pas tuer ma mère avec des larmes aux yeux. Je ne sais pas traîner dans des affaires pas claires. J’ai envie de mon futur. Je hurle: Attendez, j’ai traversé un bref moment d’ espoir. Je suis du genre « dompter le souffle ». Je suis isolée à exploser dans une nuit noire. Je reçois un courrier portant la signature d’une apparence combattive. Si je fume un joint , je n’ écoute pas ce que la prof de maths dit. Je revois les petits points lumineux sous le regard impatient des elfes et des serpents des mers qui soupirent.

    A MIDI
    Je dois écrire un récit pour mon mariage. Je fais toujours mes devoirs dans la baignoire. Je servirais de grande avenue pleine de vent. Je vois bien plus tard. Je blêmis toutes les frusques de mon père depuis sa naissance. Je débouche sur le sol. J’ai l’air inconnue comme mon frère qui aime le Mc Do. Je le fixe d’un regard nouveau de bière et le fais tinter contre la bague. Je bois plus qu’en plein match de foot. Je n’ aurai pas maman par-delà le bruissement des vagues et du vent.

    LE SOIR
    Je te dis: c’est toi qui paieras mes talons hauts. Je parle à mon frère avec des gros mots. Je te montre dans les films d’aventures des choses belles. Je lui raconte les cinq dernières minutes. Mon vieux copain Arnaud menace mon père avec des affaires de slip de bain. J’ai déjà vu notre vie. Je ne bouge pas toutes mes émotions. J’ai reçu un large sourire aux lèvres qui les multiplie mais ne les retient jamais longtemps. Je suis fière de toi frérot ,laisse-toi marcher sur les pieds. Je réponds faux et un lourd silence s’ installe à l’ école.
    Voilà mon cher ami Vince , j’attends de tes nouvelles

  3. Classe 8FR122 d’Elodie Challandes – Corcelles-Cormondrèche

    LE MATIN
    Je te cherche bout de chocolat ! Soudain j’arrachai l’homme du gazon et nous étions au moins en face de la mer. Je surveille Lisa du coin de l’œil.
    – Eh, Brooks je prépare du sirop aux huitres
    – Chéri n’oublie pas de fermer les cookies!

    LE MIDI,
    Mon repas brise le mur de pierre quand un dentiste se précipita dans l’auditorium.
    – Sale zombie ferme ma vitre comme ça elle ne ressortira pas ! dis-je.
    J’ai un sacré appareil à criminel. Mais mes dents sont absolument plates de secours.
    – Ne bouge pas, dis-je en insérant ses mâchoires à travers une gencive.

    LE SOIR,
    Des fans me déplaçaient au bout de cinq sonneries dans les gradins. Je panique du grand livre qui fronce les sourcils. Je les observai alors les sourcils affolés crier: « papa ». Tout le monde est arrivé avec ma tête de peluche innocente, je pars en laissant Plumette à la sortie de la douche. Rendez-vous dans cinq, à la CupCakery !

  4. Bonjour Vince c’est moi Lolimha Nagael-Zili. Tu te rappelles je suis ton ami de plume (ou plutòt de clavier) de la Chaux-de-Fonds de la classe 8 Fr 252 de Daniela De.Biasi Favre.
    Voilà mon emploi du temps:
    MATIN
    J’écris ce texte pour ce bateau , ce bateau en contreplaqué.
    Je pose mes mains dans ma tête.
    J’ai les deux pieds au sol , car le château d’eau semble haut .
    Je me souviens, c’est une construction qui a quitté Haïti.
    Je laisse traîner mes milliers d’oreilles et d’yeux et je coupe la conversation.
    Je rôtis de son déjeuner cellulaire.
    Je semble me pénétrer jusqu’ au fond du cerveau.
    J’habite une machine à écrire.
    Ma mère bats des paupières et regarde la voiture est déjà sur moi.
    MIDI
    Quand je ne sais pas ce que c’est , alors c’est un truc bizarre , c’est Monsieur Camembert , cette cendre de clou.
    Je reste assis dans ma poitrine.
    Je passe l’ avant – midi à tourner autour du téléphone . Je l’avoue cette histoire d’année chanceuse , c’est stupide.
    J’aime trop raconter qu’on n’a plus besoin d’aller faire le grouillot.
    Pourtant quoi que j’en dise , la radio crachote dans ma cave.
    Je frappe ses cris sourds mais tout le village le connaît.
    Je pars devant et je passe ce portail en courant sur le mauvais temps qui persiste.
    Je me prends pour une patate aux sports d’hiver.
    Je suis mort, c’est pour ça que j’ai fouiné du côté de chez mon père ce soir.
    SOIR
    Je ne sens pas la douleur d’un morceau d’eau.
    Je distingue sécher si bien que je dégouline.
    Je dois avoir trouvé les mots pour le rassurer .Je joue sérieusement sans parler ou rigoler .
    Je ne suis plus là et les tiens aussi sans doute. Je dis : il y a quelque chose à la fenêtre.

    Je possède la vision nocturne des souvenirs qui m’assaillent.
    J’ ai noyé d’ autres vaches.
    Je suis dangereux car je pourrais avoir quatre têtes qui se tourneraient ensemble.
    J’en ai marre de soulever l’ambiance de Noël.
    Je lui ordonne de tuer les hybrides qui bien que divorcées sont redoutables.
    Cher Vince, voilà mon message j’attends de tes nouvelles avec impatience.
    Loliemha

  5. Atelier d’écriture : 3ème partie

    Le Matin

    J’ai été classé comme un succès français vendu a plus de 250’000 exemplaires. J’ai couru 10’000 mètres avec un club de golf. J’ai crié « Woooooooooooooh ! » Je hoche mes yeux. Je tombe à terre dans le combat. Je souffle des tours. Je restais un haricot rouge. Je n’imaginais rien du tout.
    J’ai finalement la silhouette effrayante. J’ai repris un air sévère.
    Les larmes continuent de me monter aux yeux. En même temps, il m’avait prévenu.
    Je souriais amoureux de la musique pour communiquer avec tout le monde.
    Son sac sentait le désespoir. Je connais pas barnaby mais c’est caporal blutch coporal blutch.
    Je suis amoureuse de 16 filles. Je regarde souvent le dos de ma mère.
    Je dis vite et je rencontre le bébé. Je peux savoir ce qui lui a pris.
    Je goute ce dernier gâteau. J’ai failli révisé lîmparfait.
    Je préfère une araignée en plastique à côté de son nom.
    Je vois rentrer l’imminence du danger. J’ai plongé la main pour le lui montrer.
    Je vis pour la liberté. Je suis le carré magique.
    J’ai dragué un avion. Je ne suis même pas sûre que ce soit de sa faute.
    Je comprends mon ami. Le cadavre avait les yeux révulsés.
    Magnus doit battre Loki dans un concours d’insulte. Le seigneur des ténèbres a envahi Deltora. J’ai les veines saillantes et les mains diaphanes. Je t’aime au présent dans cette grotte labyrinthique et invisible. Omnis cellula e cellula, vous ne voulez pas d’explication ?

    Le Midi

    Je ricane devant les affaires riquiqui. Je m’accroche à mes larmes.
    Je découvre l’avenir. Je retrouve une esclave gazouillante.
    La faim me fait franchir la ville ravagée. Tu me manques plus rien ne va.
    Rien, je suis dégouté. Je suis une fille. Sur le tableau d’affichage, j’ai remarqué une annonce.
    Je viens d’entendre les gens.
    Pourquoi un garçon débile est allé là ? J’ai découvert un sourd danser.
    J`ôtais mes écouteurs.
    Je courais dehors, les hommes m’empêchaient de continuer.
    Je rougis tout simplement amoureux. A nouveau, je sens l’ossature fine.
    Je sais exactement des trucs qui tournent dans ma tête.
    Mon traitement c’est les étoiles. J’ai un cancer ok.
    Dans la voiture on m’ampute une jambe. Cléopâtre mit au monde Césarion.
    Sakiko a du mal à retenir ses larmes et je chique du tabac.
    Je veux bien messieurs, il vaudrait mieux éviter.
    J’observais le jambon –cheddar laitue.
    J’ai fais un naufrage en Grèce. Les géants immortels qui gardent l’hydromel de Kvasir sont débiles.
    Gorl garde la première pierre. Hrungnir rugit en levant le poing.
    Je me suis chopé un cancer et j’attends, ma bombonne d’oxygène à mes côtés.
    Ma vie est en jeu et le monde entier est à ma recherche, au revoir et désolé.
    La montagne m’appelle, il faut que je parte, je n’ai pas le choix, c’est ça la vérité !

    Le soir

    Je viens de la destruction du canada. Mon Ouzbékistan démocrate a été vendu à Zinédine Zidane.
    Ma joconde championne de scrabble vient de la banque. Je me souviens avec sa santé nulle.
    Je suis le seul survivant pendant trois minutes.
    J’aime facebook et j’ai fait une évasion. Je n’ai jamais piétiner les gens.
    J’ai compris, je suis célibataire.
    Je me faisais héberger. Une succession des aigles de Zeus me lance en l’air.
    J’ai commercialisé le monopoly. Je suis jaloux.
    J`ai besoin qu’on m’aime moi aussi.
    Je me rappelle ma maman était en colère.
    Je me mis une fois par an à regarder les étoiles
    Je sentais sa voix pointue me parcourir le dos. J’ai des frissons blancs.
    J’ai volé la voiture grise. J’aime les valises de Mme Desmoulins.
    T’es complètement saoul, c’est ce que je voulais.
    Je finirais ma vie, y a pas de problème.
    Qu’est-ce que ce général ?
    Je dois rentrer de la guerre.
    Haruko n’a jamais été aussi heureuse. Je vole un sandwich à un ange.
    Je trouve un esclave sous les étoiles. Je te tuerai sur l’Olympe.
    Je pense que j’ai appris des trucs. Je dois essayer de décoller.
    Je suis la foudre. J’ai gratté le bout du nez de l’ancien jockey.
    Tyr se demande si Loki est bien enfermé dans le gland magique.
    J’ai peur que Grimalkin me tue. Le Malin est dans les parages.
    Je suis allongé sur le trottoir, je tousse, avale du sang, et des cailloux me transpercent le dos.
    J’ai un cancer de la thyroïde, mes poumons sont truffés de métastases.
    Je déteste le mot malade, je déteste le mot cancer, mais je suis atteint des deux…

    Ecole de Miège 8H
    Classe de Marielle Savioz

  6. MATIN
    Je me mets des vis dans la jambe. Je retrouve Squeezie. Je n’avale pas le garçon. Visiblement, j’ai repris mon carnet d’idées. J’arrivai vers mon arrière-grand-père Zizou. Je ne sais pas. J’ai trouvé une équipe de superhéros. « Mais c’est vous qui m’avez dit que c’est moi qui l’ai assommé ! » Il ne faut pas y penser à changer ma vie. Je picorais des masses d’œil. « Manger des pommes, c’est ma passion. » Je vais grignoter du pain dans la cuisine infranchissable. « Marie s’embrasse, on ne pouvait rien faire. » Je suis le gars Rayure. Je dessine la tête du mots-croisés à trous. Je compte les idiots. J’habite la 11ème rue. Je remplis les yeux de Chloé de larmes et pris une photo. La vie était injuste car le roi me craignait. Finalement, je vais te donner un nom. Je contribue à la sincérité. Je me rends ridicule quand je me rate. Je bois un thé au hibou. Je récupère un vampire. J’ai salué le café noir et les poignées jaunes. J’ai dû lui donner la mère de Luna. Assise sur une chaise, enfin … je crois. J’habite dans les îles Clin d’œil. Je publie des pubs qui pêchent les taches de rousseur. L’œuf attaque ma mère. J’ai les cheveux roses et mon chat a le poil roux. Je punaise les gens dans les couloirs de l’école.
    MIDI
    J’aime bien manger du carburant. J’adore la viande souriante qui conduit l’arbre. Mon chat est tombé dans les pattes de mon père. La madame m’a fait la promesse de manger des insectes inconnus. J’étais dans ma cuisine, mais je m’en tape, j’ai l’habitude. Ce soir, je mets la table du souper en dansant. Une batterie, je te jure elle assure. Je mange du bon pâté. Je donne des cupcakes à mon vélo bleu. L’homme d’affaire, je peux manger ton numéro de portable. J’étais un sandwich au saucisson. Je me perchais sur les bras de Manuello. J’ai trente-quatre bleus réels. Je place le siège au ciel. Le dessert est un raccourci brûlé-vif. Je suis tombée de ma table à langer le 11 septembre 2001. J’arrive le soleil, sache que je suis ta mère. Je conduis, traversant l’un après l’autre, les chiens et les loups. J’ai trouvé un tigre en peluche au zoo. Je ne crois pas. J’ai envie de vomir la guêpe en atmosphère. J’ai décidé de croire le mal. Jamais vu un Tyrannosaures Rex. J’ai dessiné ses yeux trop rapprochés. J’ai mon chat qui mange des moineaux. Sur le moment, j’ai complètement oublié de savoir lire et écrire. Mon chat fait la comédie car les chats retombent toujours sur leurs pattes. Comme d’habitude, j’ai un accident de vélo. Je pensais manger de sa fine cigarette. J’ai vu un comte balancer des œufs sur l’agent. On partira de bonne heure, on y passera la nuit. Le moindre mot et il se marie. Après avoir vu son nez, je l’ai mangé. J’ai reçu Diego, le copain de ma sœur. Je ramassais tristement le moniteur de son front. J’aimerais qu’elle ne croie pas qu’on mange que de la viande au restaurant. « Plus facile à dire qu’à faire ! Petit méchant ! » J’ai promis à ma mère une assiette de cartes et de piquets. J’ai un juste au corps avec des cœurs dorés.
    SOIR
    Je trancherai les bibelots. Je trouve que le fossile est dégoûtant. J’avais hâte de bronzer contre la vitre. Je suis sérieuse. Je venais effectivement deux fois par ans dans son pupitre. Mais Malaurie a deviné que c’était le vestiaire des garçons. J’ai quelque chose, mais je vais n’en faire qu’une bouchée. Je deviens rouge cramoisi. Je contemple des baleines. Je tombe sur Bobby Goot. Cela n’était pas facile, des bébés disparurent. Saute ou je te pousse sur le baron et les cochons. Je me précipite dans ma chambre. Je mets une couverture qui me fait grandir. Comme d’habitude, je suis à l’hôpital. J’aurais raison d’y retourner pour être brûlée. Je dois aller à l’opéra mais c’est ringard. Le couple de petits ours pleurait à chaque disparition. Je vais danser pour toi maman. J’ai déjà trouvé ce qu’elle cache : « de l’alcool ». Je joue au caribou numérique. J’ai écouté de la musique avec ton gros orteil. Je glisse entre les mots et les lignes. Je fonds des riches et des montagnes. De retour dans ma chambre, je regrette ma famille. Je suis une tueuse de velours. Un rire triste, minable était réservé. Désolé les gars, je n’ai pas pu garder mon pantalon. Je fume un cigare. Je trouve ça un peu mou. Dans un placard, j’étais déguisée en squelette. Très vite, je devins sa femme.

    Classe de Florence Lovey, 8H Saillon

  7. LE MATIN
    Venez vivre devant le super marché et à côté de chez Kristy.
    David et Michel qui ont 7 amis et ont gagné le prix des meilleurs baby sitter.
    Je corrige au feutre les rails si bossus et tordus.
    Grand- papa regarde des écureuils.
    Je n’ai pas une minute à moi.
    Le curé n’avait pas perdu connaissance.
    Je lui ai demandé si cette personne avait vraiment le droit de se promener.
    Là, ça craint, tu es aussi monstrueux que moi.
    Je conseillais beaucoup de tartines.
    Je révise pour rien.
    Je suis capable d’écrire la lettre.
    J’ai arrêté de mâcher du bouillon en classe.
    Vers l’école il y a un chantier qui fait du bruit.
    Blaise est entré dans l’église à minuit.
    Je sens que mon pied est poilu.
    J’aimerai bien voyager dans le temps comme ma mère.
    Je suis l’allumeur car j’y ai pensé le premier.
    Je vais casser le bol avec le cochon si silencieux.
    J’ai jeté un coup d’œil c’est logique.
    Je me suis conduit comme un gâteau avant le dîner.
    Je suis toujours derrière l’ombre des autres.
    Je l’aimerai toujours, quand on aime la mort n’existe pas.
    Je voyais plus clair dans cette troublante affaire, c’était Mme Tara.
    J’ai vu Emilly avec le caisson rouge de sa sœur.
    J’utiliserai sagement ces gars à l’improviste.
    Je prendrais cette sonnette dans le tramway.
    Je mange le koala à la barbe à papa.
    J’ai vu Romey dans les membres du club.
    Le chef des fantômes.

    LE MIDI
    J’ai aussi pensé que New York était en Normandie.
    J’ai tourné les talons et il y avait une pluie d’insectes.
    Je tiens même si l’époque n’est plus la même.
    Je suis parmi les nouvelles consoles.
    Si j’ai bien compris ce n’était pas inutile.
    J’ai réussi à décourager des cornes.
    Ciel, puis-je avoir le ticket d’or ?
    Je serai endormi à force de regarder le bouillon.
    Je lui lance un rat toutes les heures en mangeant la terre pourrie.
    Je reniflais la puce.
    Je regarde plusieurs voitures s’approcher de moi.
    Je lui ai tiré la pluie et on a commencé à manger les sandales au cinéma.
    On part en voiture avec le fou, j’ai tout compris et je l’ai cru.
    J’ai vu un dragon fourré au caramel.
    Je donne du beurre de cacahuète au chevaux.
    Je deviendrai le plus énervé du monde.
    Ouais le chômage c’est que pour les vieux.
    J’ai vu Mr. Turner angoissé de ne pas avoir trouvé le bras d’or.
    Je feuilleta des rues vers la porte.
    La flute ne tombait pas du ciel mais de ce bel étranger.
    J’ai vu une usine fantôme dépasser papa.
    Je suis à l’école dès qu’il prononçait une parole.
    Je joue avec mes pieds.
    J’ai acheté Alceste avec deux pièces de monnaie car je suis le plus riche.
    J’ai dit à Agnan que nous devrions essayer de ne pas avoir qu’un seul ministre.
    J’ai fait la guerre des collines très jeune.
    Je pliais mes genoux pouce par pouce.
    Je parle comme un gosse de 6 ans, passons au tournage.
    Je reconnais les analyses d’un banc.
    Je vais devoir réussir à l’intégrer.
    Enfant humain tu fais quoi là-haut ?
    Ces lettres blanches dans la boîte y sont à cause du secret.
    J’avais l’impression d’être un art plastique.
    Je portais River City sous le bras.
    Je retiens ma respiration.
    Je voyais mon Dieu trop mince pour patiner.
    J’ai vu le maire danser.

    LE SOIR
    Je fais le circuit de guirlandes à la douce lumière.
    Je sais bien que les raviolis risquent de ne plus avoir le même goût.
    Je suis prêt Mr. Willy Wonka.
    J’avais un peu froid, mais il m’attendait.
    J’ai acheté un ours allemand le 14 octobre 2000 à 213’720 euros.
    J’ai suivi un lion qui marchait.
    J’ai abîmé un poisson en le protégeant.
    Je mange des bidons en plastique tous les soirs au plat familial.
    Je regarde ces trois enfants.
    J’ai acheté deux ou trois bouteilles.
    Je pris mon souffle ce soir.
    Je n’ai pas besoin de réfléchir.
    Je vole la Nasa pour signer les contrats.
    J’ai tant travaillé la réponse qu’un mouton l’a mangée.
    Je pars oublier les clefs de contact.
    Le soir arrive avant minuit pour réaliser mon rêve.
    je n’aurai pas son adresse.
    J’avais oublié de répondre à ses secrets.
    Je montra son apparition en voyage.
    Je peux voir et entendre mais pas parler.
    Je te laisse être heureuse, mais ça me rend nostalgique.
    Je suis trop maquillé.
    Je replia ses jambes avec douceur et Mélissa le trouva couché au milieu d’une ville voisine.
    J’approuve de la tête à plusieurs reprises.
    J’ai vu le docteur avec sa perruque.
    Je m’en allait avec le soleil radieux.
    J’appartenais au cheval.

    Classe: 8H de Saillon
    Enseignante: Rose-Marie Sierro

  8. Bonjour Vincent,

    Nous nous sommes bien amusés à écrire ce petit texte. Ça nous fait tout bizarre d’écrire des phrases qui n’ont pas de sens. Ça change de d’habitude!

    LE MATIN,
    Je me demande vraiment ce que celui-ci me veut mais je suis confiant.
    Je passe de Toto-bizarre à Théo-bizarre.
    Je lui réponds sans vraiment lui répondre.
    Je pars surveille comme carte soldat.

    A MIDI,
    Je me frotte le ventre avec des brocolis recouverts de fromage.
    Je mets la honte au père d’Alexine qui a une tête de cornichon.
    Je n’ai jamais escaladé une dune aussi grosse et c’était vraiment délicieux.
    Je trouve que c’est un peu gnangnan ton truc.

    LE SOIR,
    Je dégouline de films catastrophes tombés le 05.
    Je me retourne pour voir si derrière moi il n’y a pas de chats.
    Je quitte le sentier car je veux connaitre tous les noms.
    Je tombe sur le chemin pour te dire que je t’aime.

    A très bientôt pour le prochain atelier,

    Les zouaves de l’école St Rémy de Braine-le-Château (Belgique) et Mme Evelyne

  9. Matin

    Je goûte l’inconnu. Marion est une super fille. Elle était beaucoup plus supportable quand elle dormait. Genau das werden wir heute durchnehmen. Tout le monde est au courant de cette rumeur. Une grenade ! A couvert ! La deuxième guerre mondiale a commencé. En allant au collège, j’ai craché toute la vérité à Robert. J’imagine que c’est la célébrité qui fait ça.
    Faudrait quand même pas que ces animaux nous volent la vedette. Elle m’a supplié de ne rien dire à personne. Et maintenant, il faut demander à Robert. C’est alors que je vis ses pieds. La reine animale était morte depuis des siècles.
    – Elle est morte !, sanglota Robert.
    – Vieux yaourt pourri !!!!!
    – Parle moins fort.
    – Ouais encore une année à bé…bé…bé…bégayer, soupire Bog.
    – Tu te sens bien Patrick ?
    Même les trois ninjas de la légende faisaient pâle figure face à elle. Ils sont probablement en train de nous observer en ce moment-même et de collecter des informations sur notre mode de vie.
    – Vous voulez vraiment que j’en finisse avec vous, c’est ça ?
    – J’aurais cru entendre Pierre-Paul dans cette dernière remarque.
    – Et pourquoi ne voudrais-tu pas qu’on se remette ensemble ?
    Quatre-vingt-quatre fractures, dites-lui d’arrêter le ski. Je préfère qu’il joue au hockey, il se blesse moins.

    Midi

    Elle m’a appris à dire frère. Notre plan a l’air de marcher. Et elle a pris une glace aux pépites de chocolat, des marshmallows et de la crème chantilly. On ne porte pas de vêtement surf sister. Si l’une de vous deux se permet une réflexion sur mon nouveau casque, je lui colle une biche. Mais je vais n’en faire qu’une bouchée des chouquettes mère et fille. C’était un second arbre généalogique représenté sur une ligne unique continue. Elle connaissait mon prénom. Aber es stehen ein paar zeitlose Zaubersprüche drin…
    – Qui que vous soyez, montrez-vous !
    – On a dû lui faire peur.
    Je courus derrière lui. J’avais l’impression que je ne pouvais plus respirer. Il ne faut pas enfoncer une spatule dans la gorge de sa meilleure amie. Les drames peuvent alors survenir.
    – J’aurai cette petite peste.
    – Elle a des problèmes avec la police.
    – Vous pourriez dire quelque chose au lieu de rester plantés là comme des piquets. Je ne reviens jamais sur ma parole, c’est comme ça que je conçois mon nindo.
    – Je sens la moutarde qui me monte au nez.
    – Notre plan a l’air de marcher.
    – Je respire mal.
    C’est quelque chose qui se fait souvent en Irlande.

    Soir

    -Ce matin, c’est toi qui a volé l’argent de la banque ?
    Evidemment, ça n’a pas manqué.
    -J’ai rien volé, moi ! Je n’en ai pas vraiment eu l’occasion.
    Das Vermischen ist eine grunde legende Fertigkeit, die man zum Brauen von Zaubertränken braucht. Ils retrouvèrent la recette des cookies de la vérité.
    Ce soir, dans la salle à manger, personne n’avait le coeur à rire.
    Une corvette jaune ZRI avec un moteur LS9 super puissant est passé dans la rue.
    -C’est quoi ce bruit ?
    -Mon père, l’exterminateur.
    -T’es nul Germain, t’es nul !
    -Merci, cher public.
    Laissez-moi faire, les gars. Il manque alors de se faire écraser par un bus qui pile et fiche au tapis tout un tas de passagers debouts dans l’allée centrale.
    Caro désigna la rangée de sapins au fond du cimetière.
    Demain, une nouvelle tempête tropicale sévira dans les Caraïbes. Tes parents, ils s’en fichent, eux.
    -Mon père, l’exterminateur.
    -Ferme…, dit Lalie.
    -me…, fait Jordan.
    – -la, je conclus.
    -Au revoir, très mauvaise journée et à jamais….
    -Oh zut, j’ai encore parlé en dormant…

    Classe de 8P de V.Guillet, école de Satigny Village, Suisse

  10. Le matin, Pouchki Douchki dit :

    « J’ai écrit aux autorités pour le « Amusez-vous bien » sur la porte des voisins. Saisies de panique, elles ont éclaté de rire !
    On peut sortir de prison avec du dentifrice et c’était œuf à crunch !
    Le chemin de fer, c’est confortable, mais avez-vous de l’eau ? J’ai la bouche sèche et j’ai l’impression d’avoir mastiqué la semelle d’une vieille paire de Nike.
    Perdu dans ses pensées, Pocahontas se rend dans une clairière mystérieuse habitée par Grand-mère Feuillage, un arbre magique. J’avais repris sans bataille et j’aimerais bien que des copains sonnent à la porte de l’appartement.
    Des élèves qui se sauvent en douce de l’école, j’avais déjà vu, mais quelqu’un qui entre en cachette…jamais !
    J’ai posé une patte méfiante sur un paradis de bouses parce qu’il ne faut pas mentir aux adultes, sauf pour leur faire plaisir. »

    A midi :
    « Une voiture débouche d’un bateau de migrants et sa vie d’adulte était comme un vêtement XXL dans lequel elle flottait, risible et misérable.
    Ils s’étaient tout à fait mis d’accord pour s’entretuer dans les meilleures conditions possibles parce que Tante Eponge, l’énorme sorcière, était une montagne de graisse.
    Ce garçon est un mille-pattes alors pourquoi n’utilisez-vous pas la palette pour pousser le palet ? C’est comme ça qu’elles font les otaries.
    Parmi les plus grands, il y a le Shangaï, avec cinquante mille habitants, le New York, le Sao Polo et le Tokyo, chacun avec plus de vingt mille personnes à leur bord.
    Je suis parfait mais j’use deux fois plus de chaussures et de déodorants.
    -La pédicure aux oursins est une merveille, et nous faisons une promotion sur l’enveloppe totale « Sirène ».
    En forme de pot de fleur à l’envers, avec une petite allure militaire, je le connais ce chapeau !
    Fou de joie, le garçon choisit une boule de poils toute blanche et mon seul soulagement était de dormir dans une autre grotte.
    D’une main je rassemblais mes jupes, car là-bas, au loin, pas bien loin, derrière les troncs, les feuilles pouvaient prononcer le mot avec le plus grand naturel.
    On m’a enfin enlevé une perle sous mon plâtre et à nouveau, je fais un bond de ma chaise.

    Vers 18 heures, Pouchki Douchki ajoute :

    « Il avait plongé la chaussette de polyesteris pedibus, encore une affaire réglée. A présent, je peux me concentrer sur l’essentiel, les vacances !
    Les miroirs seraient prêts à parier du fric, mais il faut d’abord la corvée de patates.
    Les morceaux de verre se répandent sur la chaussée et les yeux de Charlie se voilèrent de larmes. Tout ce que vous allez obtenir c’est rendre les tours invisibles ou les faire exploser.
    Sommeil artificiel pour que le temps ne semble pas trop long ; je préférerai plutôt mourir que de voir un bébé cochon mourir. Si tu me fais confiance, ferme les yeux, plante ces graines et je te promets…la liberté !

    Je veux un éléphant ! Un éléphant dit le père, mais tu n’y penses pas, il faut aller le promener matin, midi et soir !

    classe de 8H, Vex, Suisse

  11. Je m’appelle Kim. Kim Mamadou et voici ma journée :

    LE MATIN
    Ce matin la journée s’étire. Je me suis réveillée au parc.
    Je m’assois pour le petit déjeuner. Petit déjeuner ?! Je me suis figée. Heureusement, j’étais équipée pour le petit déjeuner.
    J’ai raccroché et j’ai grignoté sans appétit.
    Tiens, tiens, je suis magnifique.
    Se lever un jour et être heureuse, complètement parallèle à celle de mes rêves.
    Je ne suivrai personne aujourd’hui c’est sûr !
    Je suis désolée tu as vu ton futur.
    Je ne veux plus vivre comme ça.
    Je suis maudite,
    Ce matin, j’ai décidé de ne plus penser à lui, mais je ne fais que ça. Bref je t’expliquerai plus tard. Je travaille que quand j’ai envie. Ça ne doit pas être compliqué. Je vais au collège, mais je n’ai pas envie de le voir. Dès que je l’ai retrouvé, j’ai perdu la vue. Je fais mon jogging ; impossible de l’oublier. Faites quelque chose !
    Je l’ai attrapé avec une fusée !
    Je suis la curieuse du monde.
    Je lui ai tendu un léger sac à dos sur les épaules.
    Je ne vais pas te parler de moi, je suis un problème à chuchoter.
    Je suis coincée, je ne bouge plus.
    Bonne nouvelle, tu peux toujours rêver ! Je fais l’effet d’un coup de poing.
    Je le prépare pour notre prochain match.
    Je fais de ma chambre une grande pièce.
    Je vais au soleil.
    Je vais devoir porter un pantalon mouillé.
    Je n’ai pas un anneau argenté dans la narine droite.

    LE MIDI
    Je recommence mon château, je n’ai rien pour toi.
    Je racontais mes histoires cool, que quelqu’un hurle.
    Je suis la révolution, je n’ai aucune envie d’affronter la curiosité.
    Je ne supporte pas de perdre toi ,tu te bas comme un lion.
    J’ai faim, je meurs de faim en équilibre sur une jambe.
    Mais je ne veux pas goûter à la saucisse anglaise, je veux aller à Minecraft.
    Je renonce à tout même au chocolat, je te dois bien un dessert !
    Je précise que je vais manger à New York
    Vous savez que je déteste les légumes bouillis.
    Dans le train, je mange.
    Je connais Miss Jeanne Louvier.
    J’ai envahi la famille.
    C’est moi ou c’est toi, on n’accuse pas sans preuve.
    J’ai tout essayé pour leur faire oublier mais au dîner, tout le monde ne parlait que de la tombe de Sidas Croches.
    Tu sais, j’ai beaucoup de devoirs pour l’école.
    Je suis assise dans une église et je croise des regards tristes.
    Je crois que ma mère n’était pas contre que pépé vive avec nous, elle était toute excitée.
    Je ne peux pas aller faire les courses.
    J’ai mon ballon et mon poisson.
    Je me suis couverte de sable.
    Viens ! Excuse-moi.
    J’ai une idée.
    J’ai obéi, je suis un lézard.
    Je n’ose pas prononcer de phrases intelligentes.
    Je n’ai rien à faire sans internet.
    Je regarde, ce n’est pas gentil.
    J’ai préféré mardi après-midi.
    Moi aussi je ne prends pas la chose trop au sérieux.
    J’aurais parié, descendre du prunier sans difficulté.
    Je vais mettre mes chaussures.

    LE SOIR
    Je vais trop m’éclater à la soirée pyjama.
    Je plisse un peu les yeux à la vue de cette image.
    Mes nuits m’enferment dans une coquille.
    Je n’ ai plus très chaud.
    Je l’ai consolé juste avant cinq heures.
    Tu préfères les garçons?
    – Oui, c’est comme une deuxième moitié de vie agréable.
    Je suis sympa avec mes amies.
    Je veux la définition de faim.
    Je lui ai lancé un regard fixe.
    J’imagine que personne ne me punira d’avoir mis la colonne dans cet état.
    C’est que je commence une deuxième moitié de vie agréablement remplie.
    Je veux rentrer chez moi, je plisse les yeux à la vue de cette image.
    Crois-moi mon pote, le sandwich était à tomber, je vous parie beaucoup d’effet.
    Je ne sais rien, je ne comprends rien, je préfère Harry Potter.
    Je n’ai pas le temps de l’imaginer.
    Je parie que tu as un devoir à faire.
    J’ai peur de m’engouffrer dans la cabane,je veux rentrer chez moi !
    Je ne suis pas la poche arrière de ton jeans.
    Je vais vous prendre dans mon gros bateau.
    Je vis dans l’exagération.
    Je l’ai ramené dans l’autre monde avec des élèves invisibles.
    Je vous parie beaucoup d’effet.

    Classe de 8H de Monthey

  12. Bonjour à toutes, bonjour à tous, j’ai enfin pris le temps de lire vos textes et je prends maintenant le temps de vous répondre.

    Je me dis, à les lire, que ce que je vous ai demandé n’a pas dû être fort simple à faire ! Grand merci à vous, dès lors, d’avoir mené la « mission » jusqu’au bout !

    En tout cas, si jamais vous avez des doutes, si jamais vous vous posez des questions sur la « mission » proposée, n’hésitez pas à me demander de l’aide par courriel : les gens de « La bataille des livres » peuvent me transmettre vos questions et vos messages. J’y répondrai avec grand plaisir.

    J’aimerais vous dire ceci, chers amis, chères amies : vous êtes de sacrés auteurs, de sacrées autrices ! Comme lors d’une mission précédente, certaines de vos phrases sont extraordinaires ! Lesquelles ? Haha ! Ça, je ne le dirai pas ! Simplement parce que les phrases auxquelles je suis sensibles ne seront peut-être pas les phrases auxquelles mon voisin sera sensible. Et que les phrases auxquelles ma voisine sera sensible ne seront peut-être pas les phrases auxquelles je serai sensible.

    Mais j’ai fait « mon marché » : j’ai noté dans un carnet les phrases qui me parlent, pour ne pas les oublier, pour pouvoir les relire de temps en temps.

    Et si vous faisiez pareil ? Si vous notiez dans un carnet (ou sur un feuille que vous ne perdrez pas) les phrases qui vous parlent ou – mieux encore – les phrases qui, à votre avis, pourraient parler à des gens ?

    Oui oui : faites cela ! Notez les phrases qui « parlent » ! On se basera sur ces phrases pour faire notre dernière mission (la cinquième) ! Oui : lisez des morceaux de textes des autres et notez un maximum de ces phrases ! Important de lire les textes des autres ! Allez, notez au moins sept phrases ! Vous pouvez aussi relire les textes des missions précédentes et prendre des phrases de ces textes…

    Bon. J’entends déjà votre question : « D’accord mais qu’est-ce que c’est une phrase qui parle ? » Ah bin je n’ai pas de réponse toute faite, bien sûr. À mon avis, en tout cas, ce serait des phrases où il n’y a pas trop de références culturelles (votre instit vous expliquera c’est quoi, une référence culturelle ! hihi !) : les références culturelles parlent juste aux gens qui les connaissent et ne parlent pas du tout à celles et ceux qui ne les connaissent pas ! Pour le reste, pourquoi une phrase parle et pourquoi une phrase ne parle pas : à vous de voir, à vous de vous poser la question !

    Comme j’ai dit : il n’y a pas de réponse toute faite ! Ça dépend largement du goût et des envies de chacun, chacune !

    Mais avant d’utiliser les phrases que vous aurez reprises dans les textes des autres – et un peu dans les vôtres aussi -, avant de faire notre « mission 5 », il y aura notre « mission 4 ». J’enregistrerai les vidéos ce week-end et je les enverrai à « La bataille des livres ». On partira dans une espèce d’histoire. J’espère que vous prendrez plaisir à remplir cette prochaine « mission ».

    Belle semaine à vous et à tout vite.

    Vincent

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