4ème étape

Seules les classes inscrites aux ateliers pourront poster leur réponse.

Vous pouvez télécharger la 4ème mission en PDF ici.

Bonjour à vous chères autrices et chers auteurs des classes B !

Vous venez de recevoir le texte comportant les 3 premières parties de ce polar.

Lisez-le tranquillement, et si c’est déjà fait, relisez-le au moins une fois pour avoir tout en tête.

Evidemment, votre mission cette fois-ci est de taille ! Vous vous rendez compte ? Vous allez y mettre le point final ! Et la classe A va attendre ce dénouement avec hâte, crainte, espoir. Tout ça sur vos épaules ! Je plaisante, tout se passera bien et vous pouvez avoir confiance en vous et en votre talent. Vous avez assuré jusque-là, vous allez continuer sur votre lancée.

Pour rappel, voici la mission que la classe A a remplie :

Partie 3

L’enquête les mène sur des fausses pistes. Les soupçons se portent sur une (ou plusieurs) personne qui a un mobile. Une enquête plus poussée montre pourtant que cette personne est innocente (alibi).

Maintenant, c’est à vous de reprendre le flambeau !

Votre mission consiste donc à écrire la partie 4 (la fin !) que j’ai résumée ainsi :

L’enquête se poursuit (actions), de nouveaux éléments interviennent. Une preuve irréfutable est apportée (aveu, témoin, enregistrement vidéo …) : le coupable (ou les coupables) est découvert ! Résolution de l’intrigue. Situation finale.

Nous sommes encore au coeur de l’enquête !

Vous allez imaginer un autre rebondissement, l’enquête va donc être relancée une dernière fois avant le dénouement. Et enfin, nos enquêteurs préférés vont apporter la preuve de la culpabilité d’un des suspects.

Ce que j’entends par « situation finale » : on n’arrête pas notre polar sur cette découverte. On a besoin d’avoir une sorte d’épilogue, ou en tout cas de scène où on retrouve les personnages une fois l’enquête terminée. On peut évoquer alors ce que ça a changé en eux, comment leurs relations ont évolué, ce que vont devenir les victimes par exemple, ou les coupables … Et éventuellement ouvrir l’histoire sur ce qui se passera après. Repartent-ils sur une autre enquête ? Ou au contraire veulent-ils reprendre une vie plus routinière ? A vous de voir !

Bon, vous commencez à me connaître … Vous vous doutez que je vais pimenter un tout petit peu cette mission.

Les contraintes sont déjà importantes puisque vous partez de tout ce qui a déjà été écrit.  Respectez bien le temps du récit, les dynamiques mises en place entre les personnages, la cohérence de la trame narrative.

Je ne vais pas en rajouter trop, votre mission est déjà difficile !

Juste deux contraintes supplémentaires :

– Votre texte devra comporter au moins une scène impliquant un animal.

– Votre texte devra comporter au moins une fois le mot « masque ».  

Voilà, c’est tout !

A vous de jouer !

Le dénouement de ce polar est entre vos mains.

Bon courage, je crois en vous.

A très bientôt,

Séverine

Séverine Vidal attend avec impatience les travaux des classes B pour le vendredi 14 mai.

21 réflexions sur « 4ème étape »

    • Bonjour !

      Et bravo !
      Un sacré défi que d’écrire la fin d’un polar aussi complexe. Vous en êtes très bien tirés ! Je vous félicite. Il y a des passages très émouvants.

      Il y a néanmoins pas mal de corrections à faire : surtout des histoires de ponctuation, de dialogues à présenter différemment et de phrases parfois compliquées à comprendre. Tout est indiqué en commentaires.
      Ce ne sera pas trop long, je pense, mais indispensable pour finir en beauté.
      Go !
      Amitiés
      Séverine
      File: ClasseClaireDesclouxCeligny-1.pdf

    • Bonjour Mary

      Merci !
      Et bien sûr, bravo !!
      Un beau défi relevé par la classe : c’est plein de rebondissements !

      Il reste des choses à revoir, mais ne vous découragez pas !
      Quelques répétitions, la présentation des dialogues (ponctuation, saut de ligne…) à revoir et la fin à développer un peu.
      J’ai confiance en vous !
      Hâte de lire vos corrections.

      Encore bravo,
      Séverine
      File: Mission4Cligny5P6P-1.pdf

  1. Bonjour,
    Finir l’histoire a été un exercice particulièrement difficile pour mes élèves. Tenir compte des nombreux éléments déjà présents pour apporter de la cohérence à l’histoire n’a pas été une chose facile. J’ai beaucoup soutenu lors de la production.
    Cordialement,
    Classe de 6P des Palettes, Irena Latour

        • Bonjour !
          Et vous vous en êtes très bien sortis ! C’est vraiment bien.
          De très bonnes idées : le rappel des faits par l’avalanche de questions des enfants, l’épilogue qui ouvre sur autre chose, le choix d’une histoire positive, où les grands-parents restent des gens « bien ». Bravo !
          L’écriture est vraiment fluide, une belle alternance de dialogues et de narration.
          Quelques petits détails à corriger, pas grand chose.

          A très bientôt !

          File: IrenaLatourclasse6P4mepartie-1-1.pdf

          • Bonjour,
            Certains passages sont soulignés en jaune mais n’ont pas de consigne de correction attachée ( par ex le dernier paragraphe). Que devons faire ?
            Irena Latour

          • Bonjour Irena

            Il vous suffit de passer le curseur sur les passages soulignés ou de couleur pour voir apparaître les modifications, corrections ou questions 🙂
            Sur le dernier paragraphe, il s’agit d’un compliment !
            bonne soirée

  2. Tout à coup, William sent une odeur bizarre et remarque que Léo est en sueur :
    -Tout va bien Léo ?
    -Oui, oui. Mais j’ai très soif… Je vais boire un peu. J’ai une gourde dans mon sac.
    Il se penche pour se lever.
    -Attends, je te la donne, dit William.
    Le sac de Léo est aux pieds de William. Celui-ci se met à fouiller dedans à la recherche de la gourde.
    -Non, attends, c’est bon ! s’écrie nerveusement Léo.
    Au même moment, William, qui retourne le sac dans tous les sens, en fait tomber un masque.
    -Mais, mais qu’est-ce que c‘est que… ?
    -Je voulais te le montrer dans le bureau, mais dans le feu de l’action, j’ai totalement oublié ! répond en bégayant Léo. Je l’ai trouvé parterre.
    William regarde Léo perplexe. Celui-ci est blanc comme un linge.
    -ça va les gars ? dit Laurent.
    -Je, euh… oui oui, tout bien. Léo, il est drôlement tard, on ferait mieux de rentrer.
    William a parlé d’une toute petite voix. L’atmosphère de la pièce est lourde, on sent le malaise dans l’air.
    -Oui, c’est vrai, t’as raison, enchaine Léo.
    Léo et William prennent congé de Laurent.
    Sur le chemin du retour, les deux garçons sont silencieux. William n’arrête pas de tourner en boucle les éléments de l’enquête dans sa tête. Il repense à l’enregistrement vidéo de 23h01… Trois personnes… un homme très grand… deux autres personnes, dont une particulièrement petite… peut-être de la taille d’un enfant… ? Il frissonne.
    -ça va mec ? T’es tout bizarre depuis tout à l’heure…
    Ils sont arrivés devant chez William.
    -C’est rien, t’inquiète. Je suis crevé, c’est tout. On se retrouve demain matin ? On ira à la police pour trouver à qui appartient ce camion.
    -Parfait, on se retrouve directement là-bas ! réplique Léo qui a repris de couleurs.
    Léo s’éloigne dans la nuit. William se rend dans son garage, prend son vélo et décide de suivre son ami. Arrivé devant chez lui, il voit Léo et ses parents en grande discussion, malgré l’heure tardive. Tout à coup, la porte d’entrée claque et son ami et ses parents montent en voiture.
    -Zut, se dit William. Je ne vais pas réussir à les suivre avec mon vélo…
    Il aperçoit alors le scooter du papa de Léo. En moins d’une seconde, il monte dessus et démarre en trombe. Heureusement, la voiture est encore visible au coin de la rue ; il se lance dans une filature en prenant soin d’enlever le phare.
    Au bout de 30 bonnes minutes de route, William se retrouve dans une petite forêt, avec une clairière bien dissimulée derrière de grands arbres.
    Il est devant une grande maison, qui ressemble à un chalet de vacances.
    William se souvient que Léo lui avait parlé d’une maison de vacances appartenant à sa famille… C’est alors qu’il remarque le camion. Il sent une nausée monter en lui.
    -Mais qu’est-ce que ça veut dire… se marmonne-t-il.
    A ce moment précis, il voit une tête de girafe passer devant les fenêtres du 2ème étage du chalet. L’animal pousse des sortes de meuglements effroyables. Elle frappe avec son cou contre les vitres, comme si elle cherchait à s’échapper. Il sort son téléphone et filme la scène.
    William entend alors des éclats de voix qui se rapprochent de la porte du chalet. Il se recroqueville derrière un tas de bois et retient son souffle.
    -Je t’avais dit de lui donner une plus grande dose de tranquillisant ! La voix féminine de la maman de Léo est lourde de reproches.
    -Mais enfin Mélanie ! Tu te rends compte de ce qu’on lui a déjà injecté !?! Elle avait surtout faim, elle est calmée maintenant, tu vois bien.
    -Papa, moins fort, murmure Léo.
    William n’en revient pas… Mélanie ?!! La mère de Léo s’appelle Mélanie… Comme Mélanie et Johns… ?
    En entendant le bruit de démarrage de la voiture, William réalise qu’il doit ramener le scooter et reprendre son vélo avant que son ami et ses parents rentre à la maison…
    In extremis, le garçon déboule dans le garage et fait l’échange des véhicules. Trois secondes de plus et il était cueilli comme une fleur.
    De retour chez lui, le jeune enquêteur se couche en souriant : son plan pour le lendemain est prêt.
    Lorsque Léo arrive au commissariat au matin, William est déjà là depuis un moment.
    -Bien dormi ? ça va mieux ? s’enquiert Léo.
    -Trèèèèès bien, je dirais même plus : comme un bébé.
    Léo regarde son camarade avec surprise.
    -On est prêt, c’est quand vous voulez, annonce le commissaire.
    -Euh… qu’est-ce que ? demande Léo, perplexe.
    Il n’a pas le temps de finir sa phrase, qu’il se retrouve assis dans une voiture de patrouille, William à ses côtés.
    -Mais on va où ?
    Léo commence à s’énerver. La tournure des événements le dépasse.
    Le commissaire, lui, est au téléphone :
    -Oui, bonjour Monsieur. Oui, c’est au sujet de votre fils, nous sommes dans la forêt des grands Pins et nous venons de retrouver ses affaires… Il y a des traces de lutte, mais aucune trace du garçon… Oui, nous vous attendons sur les lieux. Merci.
    Léo blêmit. La forêt des grands Pins est là où se situe le chalet de vacances de ses parents. Il détourne les yeux pour regarder son ami qui se tient à ses côtés.
    William le fixe depuis déjà un petit moment.
    -Je ne savais pas que ta maman s’appelait Mélanie…
    La voix de William sonne comme un reproche.
    -C’est… c’est un prénom courant, tente Léo.
    Arrivés devant le chalet de vacances, William et Léo constatent que les parents de Léo sont déjà là, menottés par la police. Léo sort en trombe de la voiture.
    -Maman, papa ! Je.. je…
    -Chut, ne dis rien ! hurle son père.
    William regarde Léo avec dépit :
    -Mais pourquoi Léo, pourquoi ?
    -Je… je voulais que tu aies une enquête. Tu avais l’air tellement triste. Je voulais…
    -Quoi ?!? s’étrangle son ami. Mais c’est complètement ridicule, on ne vole pas une girafe pour occuper un copain ! Mais tes parents, pourquoi ils t’ont aidé ?
    -Oh, eux, si il y a une chance de se faire de l’argent facilement, tout est ok. Ils espéraient la vendre à un laboratoire pharmaceutique pour fabriquer un médicament miracle contre la COVID.
    -Bien, interrompt le commissaire. Il ne faut pas oublier de libérer cette fameuse girafe ! William, à toi l’honneur !
    L’enquêteur en herbe pousse la porte du chalet. Il entre dans une pièce immense. Les étages n’existent plus, il n’y a qu’une grande salle… vide !
    Un trou béant trône au milieu d’un des murs.
    -Où mène ce trou ? aboie le commissaire aux parents de Léo.
    -Ce sont les catacombes, ricane le père de Léo. Elles mènent au zoo.
    -Ou ailleurs, renchérit Mélanie, qui sait…
    FIN

    Epilogue
    Dans le bureau de Jean-Charles, ce matin-là, un jeune garçon doué pour les enquêtes et un geek de l’informatique à peine plus âgés tentent de convaincre un commissaire de police ainsi qu’un directeur de zoo d’organiser une chasse à la girafe.

        • Tout à coup, William sent une odeur bizarre et remarque que Léo est en sueur :
          -Tout va bien Léo ?
          -Oui, oui. Mais j’ai très soif… Je vais boire un peu. J’ai une gourde dans mon sac.
          Il se penche pour se lever :
          -Bouge pas, je te la donne, dit William.
          Le sac de Léo est à ses pieds. Celui-ci se met à fouiller dedans à la recherche de la gourde.
          -Non, attends, c’est bon ! s’écrie nerveusement Léo.
          Au même moment, William, qui retourne le sac dans tous les sens, en fait tomber un masque.
          -Mais, mais qu’est-ce que c‘est que… ?
          -Je voulais te le montrer dans le bureau, mais dans le feu de l’action, j’ai totalement oublié ! répond Léo en bégayant. Je l’ai trouvé par terre.
          William regarde Léo perplexe. Celui-ci est blanc comme un linge.
          -ça va les gars ? demande Laurent.
          -Je, euh… oui oui, tout bien. Léo, il est drôlement tard, on ferait mieux de rentrer.
          William a parlé d’une toute petite voix. L’atmosphère de la pièce est lourde, on sent le malaise dans l’air.
          -Oui, c’est vrai, t’as raison, enchaîne Léo.
          Léo et William prennent congé de Laurent.
          Sur le chemin du retour, les deux garçons sont silencieux. William n’arrête pas de tourner en boucle les éléments de l’enquête dans sa tête. Il repense à l’enregistrement vidéo de 23h01… Trois personnes… un homme très grand… deux autres personnes, dont une particulièrement petite… peut-être de la taille d’un enfant… ? Il frissonne.
          -ça va mec ? T’es tout bizarre depuis tout à l’heure…
          Ils sont arrivés devant chez William.
          -C’est rien, t’inquiète. Je suis crevé, c’est tout. On se retrouve demain matin ? On ira à la police pour trouver à qui appartient ce camion.
          -Parfait, on se retrouve directement là-bas ! réplique Léo qui a repris des couleurs.
          Léo s’éloigne dans la nuit. William se rend dans son garage, prend son vélo et décide de suivre son ami. Arrivé devant chez lui, il voit Léo et ses parents en grande discussion, malgré l’heure tardive. Tout à coup, la porte d’entrée claque et son ami et ses parents montent en voiture.
          -Zut, se dit William. Je ne vais pas réussir à les suivre avec mon vélo…
          Il aperçoit alors le scooter du papa de Léo. En moins d’une seconde, il monte dessus et démarre en trombe. Heureusement, la voiture est encore visible au coin de la rue ; il se lance dans une filature en prenant soin d’enlever le phare.
          Au bout de 30 bonnes minutes de route, William se retrouve dans une clairière bien dissimulée derrière de grands arbres.
          Il est devant une énorme maison, qui ressemble à un chalet de vacances.
          William se souvient que Léo lui avait parlé d’une maison de vacances appartenant à sa famille… C’est alors qu’il remarque le camion. Il sent la nausée monter en lui.
          -Mais qu’est-ce que ça veut dire… se marmonne-t-il.
          A ce moment précis, il voit une tête de girafe passer devant les fenêtres du 2ème étage du chalet. L’animal pousse des sortes de meuglements effroyables. Elle frappe avec son cou contre les vitres, comme si elle cherchait à s’échapper. Il sort son téléphone et filme la scène.
          William entend alors des éclats de voix qui se rapprochent de la porte du chalet. Il se recroqueville derrière un tas de bois et retient son souffle.
          -Je t’avais dit de lui donner une plus grande dose de tranquillisant ! La voix féminine de la maman de Léo est lourde de reproches.
          -Mais enfin Mélanie ! Tu te rends compte de ce qu’on lui a déjà injecté !?! Elle avait surtout faim, elle est calmée maintenant, tu vois bien.
          -Papa, moins fort, murmure Léo.
          William n’en revient pas… Mélanie ?!! La mère de Léo s’appelle Mélanie… Comme Mélanie et Johns… ?
          En entendant le bruit de démarrage de la voiture, William réalise qu’il doit ramener le scooter et reprendre son vélo avant que son ami et ses parents ne rentrent à la maison…
          In extremis, le garçon déboule dans le garage et fait l’échange des véhicules. Trois secondes de plus et il était cueilli comme une fleur.
          De retour chez lui, le jeune enquêteur se couche en souriant : son plan pour le lendemain est prêt.
          Lorsque Léo arrive au commissariat au matin, William est déjà là depuis un moment.
          -Bien dormi ? ça va mieux ? s’enquiert Léo.
          -Trèèèèès bien, je dirais même plus : comme un bébé.
          Léo regarde son camarade avec surprise.
          -On est prêt, c’est quand vous voulez, annonce le commissaire.
          -Euh… qu’est-ce que ? demande Léo, perplexe.
          Il n’a pas le temps de finir sa phrase, qu’il se retrouve assis dans une voiture de patrouille, William à ses côtés.
          -Mais on va où ?
          Léo commence à s’énerver. La tournure des événements le dépasse.
          Le commissaire, lui, est au téléphone :
          -Oui, bonjour Monsieur. Oui, c’est au sujet de votre fils, nous sommes dans la forêt des grands Pins et nous venons de retrouver ses affaires… Il y a des traces de lutte, mais aucune trace du garçon… Oui, nous vous attendons sur les lieux. Merci.
          Léo blêmit. La forêt des grands Pins est là où se situe le chalet de vacances de ses parents. Il détourne les yeux pour regarder son ami qui se tient à ses côtés.
          William le fixe depuis déjà un petit moment.
          -Je ne savais pas que ta maman s’appelait Mélanie…
          La voix de William sonne comme un reproche.
          -C’est… c’est un prénom courant, tente Léo.
          Arrivés devant le chalet de vacances, William et Léo constatent que les parents de Léo sont déjà là, menottés par la police. Léo sort en trombe de la voiture.
          -Maman, papa ! Je.. je…
          -Chut, ne dis rien ! hurle son père.
          William regarde Léo avec dépit :
          -Mais pourquoi Léo, pourquoi ?
          -Je… je voulais que tu aies une enquête. Tu avais l’air tellement triste. Je voulais…
          -Quoi ?!? s’étrangle son ami. Mais c’est complètement ridicule, on ne vole pas une girafe pour occuper un copain ! Mais tes parents, pourquoi ils t’ont aidé ?
          -Oh, eux, s’il y a une chance de se faire de l’argent facilement, tout est ok. Ils espéraient la vendre à un laboratoire pharmaceutique pour fabriquer un médicament miracle contre la COVID.
          -Bien, interrompt le commissaire. Il ne faut pas oublier de libérer cette fameuse girafe ! William, à toi l’honneur !
          L’enquêteur en herbe pousse la porte du chalet. Il entre dans une pièce immense. Les étages n’existent plus, il n’y a qu’une grande salle… vide !
          Un trou béant trône au milieu d’un des murs.
          -Où mène ce trou ? aboie le commissaire aux parents de Léo.
          -Ce sont les catacombes, ricane le père de Léo. Elles mènent au zoo.
          -Ou ailleurs, renchérit Mélanie, qui sait…
          FIN
          Epilogue
          Dans le bureau de Jean-Charles, ce matin-là, un jeune garçon doué pour les enquêtes et un geek de l’informatique à peine plus âgé tentent de convaincre un commissaire de police ainsi qu’un directeur de zoo d’organiser une chasse à la girafe.
          FIN

          • Très bien comme ça ! Bravo pour les corrections

  3. Le » texte duo final « des classes de Lucie Pittet et Elodie Crettenand a été présenté lors de la journée de la lecture à haute voix par les élèves de la classe de Lucie Pittet. Bravo pour votre écrit et pour cette initiative !

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